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Den unge, smukke Mary Lawson har fået plads som huslærerinde for familien de Morvilles datter Alphonsine. Da hun ankommer til slottet Morville, har hun undervejs fra Calais - ganske uforskyldt - lagt sig ud med en vis monsieur de la Botardière, en kolerisk ældre herre, som viser sig at være familien de Morvilles arveonkel, og da hun ankommer til slottet Morville forlanger at man skal bortvise pigen for hendes påståede næsvisheder. Familien insisterer dog på, at man har forpligtet sig overfor miss Mary, og beholder hende – hvilket straks medfører, at onklen gør dem arveløse.Lærerinden bliver altså på slottet Morville, og i løbet af kort tid får hun pådraget sig Alphonsines forgudelse, madame de Morvilles jalousi, og såvel husfaderens som sønnen Gèrards voldsomme kærlighed. Men da en huslærerinde indtager en stilling, der er lidt over det almindelige tjenerskabs, bliver hun samtidig lagt for had af husholdersken, den overtroiske madame Pivolet, hvis små og større hævnaktioner den blide unge pige dog vælger at ignorere.Sue's roman er skrevet et par år efter Jane Eyre, og ligger i sit tema tæt op til denne og andre af den tids "guvernanteromaner" – men stilen er umiskendelig fransk, og der er ikke så langt mellem alvor og farce hos Sue som i Brontë-søstrenes romaner.
Aux abords de l'Océan Polaire qui joint la Sibérie à l’Amérique du Nord, les empreintes à sept clous formant une croix d'un marcheur invétéré (côté Europe), et celles d'une femme (côté Amérique), semblent dire que tous deux s'observent. Il s'agit du Juif errant et de la princesse juive Hérodiade : les figures protectrices de tous les personnages de la série légendaire du « Juif errant ».Au fil des seize parties, comme dans « Les Mystères de Paris », Eugène Sue peint la vie des travailleurs, des ouvriers, des hommes et des femmes des bas-fonds. Il introduit ainsi en littérature une foule de marginaux que le roman bourgeois avait jusqu'alors dédaignés, et exhorte, en un roman-feuilleton extrêmement populaire à sa sortie, les souffrances du peuple. Mais il dresse aussi un réquisitoire contre le fanatisme et l’intolérance religieuse, avec une figure monumentale de la littérature occidentale, celle du juif errant.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, né dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit retourner à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. « La Salamandre », 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 « Les Mystères de Paris », suivi du « Juif errant ». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
« El Gitano » : À Santa-Maria, tout le monde parle d'El Gitano. On dit que c'est un contrebandier sans foi ni loi, et qu'il n'apportera que le malheur. Les habitants le craignent, l'imagine, et les autorités rêvent de l'attraper. Partout on le surnomme : « le Maudit ».« Kernok le pirate » : Dur et sans pitié, Kernok le pirate fend les vagues à bord de l'Épervier. Il laboure les mers et navires à la recherche de trésors, et massacre leurs occupants, aussi innocents soient-ils. Quiconque lui désobéit finira ficelé et brûlé comme une torche. Mais une malédiction pèse sur ses épaules : il ne vivra que treize jours...Voici là deux romans iconiques de l'auteur des « Mystères de Paris ». Navires, aventures maritimes, malédictions, et pirates sanguinaires au cœur tendre : Eugène Sue révèle tous ses talents d'auteur de roman maritimes.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. « La Salamandre », 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 « Les Mystères de Paris », suivi du « Juif errant ». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. « Les Mystères du peuple » est publié mais doit déjouer la censure.
Dur et sans pitie, Kernok le pirate fend les vagues a bord de l'Epervier. Il laboure les mers et navires a la recherche de tresors, et massacre leurs occupants, aussi innocents soient-ils. Quiconque lui desobeit finira ficele et brule comme une torche.Mais on dit qu'une malediction pese sur son ame. Il n'a plus que treize jours a vivre ; treize jours pour faire des pirates les conquerants inexpugnables de la mer ; treize jours pour retrouver la seule personne au monde a faire fondre son cA ur...Premier roman d'Eugene Sue, il s'agit d'une histoire ou l'amour et la mort s'embrassent de la plus sombre des manieres. Sorcieres, pirates, abordages et cruautes, voici la un chef-d'A uvre du roman d'aventures.-
Le capitaine Benoit s'est embarque sur la Catherine pour prendre part a la traitre negriere. Il sillonne l'ocean atlantique, essuie une violente tempete, et accoste non sans peine sur les cotes d'Afrique. Alors qu'il fait reparer le negrier, Benoit negocie aupres du roi Taroo l'achat d'une quarantaine d'esclaves. Parmi eux se trouve Athar-Gull. Son prix est eleve : pour cause, c'est un homme bati comme Hercule, et un guerrier hors pair.Des soutes d'un negrier jusqu'a la Jamaique, voici la tragique histoire d'un humain devenu esclave, pret a tout pour se liberer, et consume par un desir de vengeance.Lors de sa parution en 1831, le roman fit scandale pour son denouement considere a l'epoque comme "e; insolent "e;. Il dresse le portrait de la traite negriere au XIXe siecle, ou les captifs ont le statut de betes de foire, et ou les revendeurs sont sans pitie ni morale. Il sera adapte en bande-dessine en 2011 par Fabien Nury. -
Il a leve des armees de paysans et somme les nobles a se joindre a lui. Il a cherche a decapiter le Roi-Soleil. Il a eloigne le chevalier du Rohan, compagnon d'enfance du roi, de Versailles. Il s'est fait exiler au Pays-Bas pour tentatives d'insurrection. Mais il n'abandonnera pas si facilement.Son nom est Latreaumont et il rendra la Normandie independante.Inspire par la vie de Gilles du Hamel de Latreaumont, Eugene Sue fait le recit d'une conspiration visant a liberer la France de la monarchie avant meme les evenements sanglants de la revolution francaise. Ce roman inspirera tres certainement Isidore Ducasse, connu sous le pseudonyme de comte de Latreaumont.-
Au XIXème siècle, au dernier étage de la maison 17, rue du temple, à Paris, vivent les Morel. Le père, un ouvrier lapidaire, a reçu un prêt du notaire Jacques-Ferrand pour bien débuter dans le métier. Mais le notaire est un homme peu scrupuleux et un faux croyant. Louise Morel, la fille ainée de la famille, employée chez ce dernier, surprend un jour une conversation secrète entre Jacques-Ferrand et des malfrats: on projette de tuer une jeune femme... Louise est attrapée à écouter aux portes. Jacques-Ferrand, furieux, lui réserve le même sort qu'à la jeune inconnue, et menace de ruiner la famille Morel. Heureusement, Rodolphe, un homme qui lutte contre les injustices dans Paris, veille au grain.«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
Au XIXème siècle, Rodolphe, résolu à lutter contre les injustices de Paris, s'en va dîner chez les d’Harville, un couple de riches nobles. Mais alors que Clémence d'Harville est envoyée par Rodolphe à la prison de Saint-Lazare pour aider Louise Morel, accusée injustement d'infanticide, le marquis d'Harville se tire une balle dans la gorge — par amour...«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
Au XIXème siècle, le Chourineur, un ancien boucher envoyé dans une ferme en Algérie par Rodolphe, revient à Paris. Son fidèle ami Rodolphe lui manque, et il éprouve le même besoin que lui: lutter contre les injustices dans la capitale. Ensemble, ils préparent le sauvetage de François-Germain, l'homme pour qui Rodolphe a entrepris tant d'aventures...«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
Autrefois, La Louve terrorisait les prisonnières de Saint-Lazare. Mais l'orpheline Fleur-de-Marie, une ancienne captive, a su éveiller en elle un sentiment de rédemption. Libérée de prison pour bonne conduite, La Louve fonce droit sur l'île des Ravageurs, au milieu de la Seine, pour délivrer son amour de toujours, Martial, enfermé par sa mère et condamné à mourir de faim. Mais à peine arrive-t-elle sur l'île que des cris de détresse retentissent: Fleur-de-Marie se noie...«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
Paris, XIXème siècle. Rodolphe erre dans les rues de Paris à la recherche de François-Germain. Son enquête se resserre autour de la prison de Saint-Lazare. Peu à peu, il découvre l'histoire qui se trame autour de ce mystérieux personnage. La vérité est à portée de main...Alors que Mlle Séraphin, domestique du terrible notaire Jacques-Ferrand, se rendait à la prison de Saint-Lazare pour trouver Fleur-de-Marie, et la remettre aux mains des brigands de l'île des Ravageurs, elle rencontra Rigolette, une grisette généreuse, qui se dirigeait vers la prison de La Force... Là où est enfermé François-Germain...«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
XIXème siècle, Paris. Rodolphe, le justicier des miséreux, est en proie au désespoir. Alors qu'il a réussi à sauver François-Germain de la prison, Sarah Seyton, dont la blessure laissée par le poignard de l'odieuse Chouette peine à cicatriser, lui dévoile un lourd secret: Fleur-de-Marie, celle dont les rumeurs disent qu'elle s'est noyée, est leur fille...«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
Fleur-de-Marie a retrouvé son père, Rodolphe, le prince qui a tant lutté contre les injustices dans le Paris du XIXème siècle. Rodolphe et la marquise Clémence, celle qui a ramené saine et sauve la fille à son père, vont bientôt se marier à Gerolstein. Tout va pour le mieux, mais le jour du départ de Paris — jour de carême — le fiacre de Rodolphe se retrouve coincé dans une foule bariolée. Rodolphe s'impatiente, quand soudain surgit le Squelette, un assassin sans vergogne, qui se précipite droit sur son fiacre...«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
Au XIXe siècle, Rodolphe, un riche homme déguisé en ouvrier, arpente les ruelles sombres de Paris à la recherche de François-Germain, le fils de la fermière chez qui il a placé la Goualeuse, une orpheline forcée à se prostituer. Murph, un gentilhomme et complice, a une piste: François-Germain aurait demeuré au 17, rue du Temple. Rodolphe s'y rend, et dans ses recherches reçoit la précieuse aide de Mlle Rigolette, une grisette digne et généreuse, et de M. et Mme Pipelet, des concierges à la langue bien pendue...Au langage fort, et riche en péripéties, le Tome 2 des «Mystères de Paris» est resté dans la culture populaire: Mme Pipelet a donné son nom à l'expression: être une pipelette.«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
Le Maître d'Ecole, un odieux criminel, refait surface dans le Paris du XIXème siècle, aveugle depuis que Rodolphe, un riche homme qui arpente Paris pour lutter contre les injustices, lui a crevé les yeux en guise de punition. Il s'agit désormais pour le bandit de capturer Fleur-de-Marie, la protégée de Rodolphe. Mais l'infirmité du Maître d'Ecole ne lui permet pas d'agir seul. Il doit compter sur ses deux complices, Tortillard et la Chouette, aussi dangereux que mauvais.«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
Paris 1838. Une nuit, dans un tapis-franc, une jeune fille, la Goualeuse, se fait agresser par celui qu'on appelle le Chourineur. Un mystérieux inconnu surgit alors de l'ombre pour défendre, à main nue, la jeune fille. Le chourineur, vaincu et impressionné par une telle force, invite, sans rancune, sa victime et l'inconnu à souper. Ainsi, chacun raconte tour à tour d'où il vient. Le Chourineur est un ancien apprenti-boucher, condamné au bagne pour avoir tué. La Goualeuse, alias Fleur-de-Marie, est une chanteuse de 16 ans, orpheline, forcée à se prostituer. L'inconnu s'appelle Rodolphe, et il erre dans les ruelles de Paris, travesti en homme du peuple, afin de lutter contre l'injustice et la misère.«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.
The Wandering Jew is an 1844 novel by the French writer Eugène Sue. It is a Gothic novel depicting the titular character in conflict with the villain, a murderous Jesuit named Rodin. The Wandering Jew was a serially published novel, which attained great popularity in Paris, and beyond. According to historian John McGreevy, the novel was intensely and deliberately "anti-Catholic". Its publication, and that of its predecessor The Mysteries of Paris, greatly increased the circulation of the magazines in which they were published and depicted the intrigues of the nobility and the harsh life of the underclass to a wide public.
The Wandering Jew is an 1844 novel by the French writer Eugène Sue. It is a Gothic novel depicting the titular character in conflict with the villain, a murderous Jesuit named Rodin. The Wandering Jew was a serially published novel, which attained great popularity in Paris, and beyond. According to historian John McGreevy, the novel was intensely and deliberately "anti-Catholic". Its publication, and that of its predecessor The Mysteries of Paris, greatly increased the circulation of the magazines in which they were published and depicted the intrigues of the nobility and the harsh life of the underclass to a wide public.
The Wandering Jew is an 1844 novel by the French writer Eugène Sue. It is a Gothic novel depicting the titular character in conflict with the villain, a murderous Jesuit named Rodin. The Wandering Jew was a serially published novel, which attained great popularity in Paris, and beyond. According to historian John McGreevy, the novel was intensely and deliberately "anti-Catholic". Its publication, and that of its predecessor The Mysteries of Paris, greatly increased the circulation of the magazines in which they were published and depicted the intrigues of the nobility and the harsh life of the underclass to a wide public.
The Wandering Jew is an 1844 novel by the French writer Eugène Sue. It is a Gothic novel depicting the titular character in conflict with the villain, a murderous Jesuit named Rodin. The Wandering Jew was a serially published novel, which attained great popularity in Paris, and beyond. According to historian John McGreevy, the novel was intensely and deliberately "anti-Catholic". Its publication, and that of its predecessor The Mysteries of Paris, greatly increased the circulation of the magazines in which they were published and depicted the intrigues of the nobility and the harsh life of the underclass to a wide public.
The Wandering Jew is an 1844 novel by the French writer Eugène Sue. It is a Gothic novel depicting the titular character in conflict with the villain, a murderous Jesuit named Rodin. The Wandering Jew was a serially published novel, which attained great popularity in Paris, and beyond. According to historian John McGreevy, the novel was intensely and deliberately "anti-Catholic". Its publication, and that of its predecessor The Mysteries of Paris, greatly increased the circulation of the magazines in which they were published and depicted the intrigues of the nobility and the harsh life of the underclass to a wide public.
The Wandering Jew is an 1844 novel by the French writer Eugène Sue. It is a Gothic novel depicting the titular character in conflict with the villain, a murderous Jesuit named Rodin. The Wandering Jew was a serially published novel, which attained great popularity in Paris, and beyond. According to historian John McGreevy, the novel was intensely and deliberately "anti-Catholic". Its publication, and that of its predecessor The Mysteries of Paris, greatly increased the circulation of the magazines in which they were published and depicted the intrigues of the nobility and the harsh life of the underclass to a wide public.
The Wandering Jew is an 1844 novel by the French writer Eugène Sue. It is a Gothic novel depicting the titular character in conflict with the villain, a murderous Jesuit named Rodin. The Wandering Jew was a serially published novel, which attained great popularity in Paris, and beyond. According to historian John McGreevy, the novel was intensely and deliberately "anti-Catholic". Its publication, and that of its predecessor The Mysteries of Paris, greatly increased the circulation of the magazines in which they were published and depicted the intrigues of the nobility and the harsh life of the underclass to a wide public.
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