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Henri Georges Jeanne dit H.-J. Magog débuta par des dialogues et des poésies. Il devint feuilletoniste en 1911 au Journal, à Excelsior et à L'Éclair, et fut conteur au quotidien Le Matin, à partir de 1923. Le Plus beau voyage, retrouvé lors d'une exploration de La Page du dimanche du Matin, a été composé pour les vacances de l'été 1923. ¿uvre de circonstance, roman de tourisme et de mystère, chaque épisode fait l'objet d'une magnifique mise en image composée par Jacques Touchet (1887-1949).Hymne au tourisme hexagonal, au patrimoine et aux richesses archéologiques, architecturales, religieuses et naturelles de la France, à ses paysages, le roman de Magog invite à une découverte hebdomadaire des différentes régions du pays : pour chaque jour, une étape, une visite, une aventure nouvelle vécues par les personnages et le lecteur, en temps réel.Ce court roman est précédé par une introduction de Jean-Luc Buard (co-fondateur et rédacteur en chef de la revue Le Rocambole).
Barrabas, premier roman-feuilleton de Maurice Level dans Le Journal, y paraît en 83 épisodes du 27 février au 20 mai 1920, parallèlement à la projection du film de Louis Feuillade sur les écrans. Conteur et chroniqueur depuis 1901 dans ce quotidien, Maurice Level n'intervient qu'à la demande du Journal, lequel aura été approché par Feuillade. Frêle vieillard - du moins en apparence - au faîte de sa puissance néfaste, Barrabas (Strelitz) est un chef de bande impitoyable. Fourbe et déloyal, il s'empare de la fortune du banquier Mortimer et tente ensuite de corrompre l'avocat Jacques Varèse qui commence à s'intéresser à ses activités. Ne parvenant pas à retourner celui-ci, une lutte féroce s'engage alors entre eux. Dans sa postface, Jean-Luc Buard revient longuement sur la réalisation du film. Une galerie photographique provenant des archives de M. Champreux, petit-fils de Feuillade, ainsi qu'un inventaire de 110 ciné-romans publiés en feuilletons dans les quotidiens de 1915 à 1927 terminent ce volume.
Après l'obtention de son diplôme de médecine, Maurice Loewel dit Level commence à écrire des contes et nouvelles. Le succès venant, il se consacre principalement à l'écriture, collaborant à de nombreux journaux et revues. Il reste connu comme un maître de la peur . En 1923, il publie La Cité des voleurs dans le magazine Lecture pour tous.Un jeune fils de famille entièrement ruiné, François de Guerlant, se voit forcé d'entrer dans une immense et ténébreuse affaire que dirige un extraordinaire patron : M. Dassy de Tharn. Dans cette affaire étrange, les gens n'ont aucun nom, mais de simples numéros. Piégé par son employeur, le jeune homme, sentant qu'il ne pourra jamais prouver son innocence, s'enfuit au Klondike où il se rallie à une bande d'individus louches se dirigeant vers une cité mystérieuse ignorée de tous les gouvernements, mais connu de tous les voleurs : une cité inquiétante, où vit la plus redoutable des associations disposant de ramifications innombrables dans le monde.
Après l'obtention de son diplôme de médecine, Maurice Loewel dit Level commence à écrire des contes et nouvelles. Le succès venant, il se consacre principalement à l'écriture, collaborant à de nombreux journaux et revues.Ce volume réunit pour la première fois les quarante contes que Maurice Level a publiés dans le quotidien sportif L'Auto, de 1904 à 1910, d'abord sous le pseudonyme de Hemelle. Journal littéraire méconnu dirigé par Henri Desgrange, L'Auto accueillait les plus importants écrivains-journalistes de son temps, tels Maurice Leblanc, Jean Richepin ou J.-H. Rosny qui se donnaient pour mission de promouvoir et de défendre l'éthique sportive par la littérature, contes, chroniques ou articles.Alternant conte bouffon ou tragique, Maurice Level cherche surtout des situations burlesques impliquant automobilistes ou cyclistes.Complété d'une bibliographie, ce volume a été préparé par Jean-Luc BUARD (co-fondateur et rédacteur en chef de la revue Le Rocambole).
Maurice Level (1875-1926) est connu comme un maître de la peur . Deux ans après sa mort, Le Matin publie en feuilleton son dernier roman, Le Marchand de secrets , resté inachevé et terminé par Jean Prudhomme.Dans la principauté de Salz et Béclar la police s'inquiète d'une infiltration de révolutionnaires étrangers. Des mesures sont prises pour que soit surveillée la région de Bellavista. Là se dresse un ancien rendez-vous de chasse, dans lequel le grand-duc Éric, escorté de son officier d'ordonnance, Wolfram d'Oxet, se rencontrerait fréquemment avec une femme. Or le jeu des alliances veut que le grand-duc Éric se marie avec Stéphanie de Weisbourg, archiduchesse d'Harreluise, un état voisin. Mais Éric aime Claudie, fille de François de Porquerolles, son grand-écuyer, et décide alors de s'enfuir avec elle. On les retrouve, peu de temps après, tous deux morts au rendez-vous de Bellavista. Les recherches s'égarent. Le mystère reste impénétrable.
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