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Présentée pendant huit semaines à guichet fermé au Théâtre la Licorne (printemps 2006), la pièce accumule les éloges. Raisons invoquées? La mise en scène habile de Fernand Rainville, la distribution brillante, flamboyante... Et au cœur de ce succès, l'écriture de Dalpé : « Sur le plan de l'écriture, « Août » bénéficie d'une construction adroite. Des événements microscopiques (des mèches de fantaisie, la minceur, une invitation, l'érablière, une couleuvre, une nappe) permettent peu à peu au spectateur de concevoir l'ampleur du désastre familial dont, jusqu'au dernier moment, nul ne veut se préoccuper. La musicalité des répliques prolonge la torpeur tant des héros que du public, convainquant presque que la crise est évitable. Mais elle ne l'est pas. Et, justement à cause de ça, elle est plus terrible quand elle éclate.[…] Dénué de complaisance, le regard de Dalpé, appuyé de toute part, […] appelle à réagir avant qu'il ne soit trop tard. » Hervé Guay, Le Devoir […] Une écriture originale, électrique, faite de musique et de punchs. André Ducharme, Désautels - Radio-Canada Quatre générations d'une même famille se réunissent une fin d'après-midi d'été à la vieille maison de ferme pour fêter les fiançailles de Monique et André qui habitent à la ville. En ce troisième jour de canicule, « la maisonnée a beau se tenir à l'abri sous la véranda et dans la parlotte, le drame couve. » Le Devoir
Initialement publié en 1999, « Il n'y a que l'amour » rassemble huit pièces en un acte (dont «Trick or Treat» et «Give the lady a break»), trois contes urbains, une conférence et un texte poétique pour une voix. Le jury qui lui a attribué le prix du Gouverneur général soulignait que le livre « donne une parole à ceux qui n'en ont pas » et que, dans le théâtre de Dalpé, « il n'y a pas de jugements; que de la compassion ».
Un soir de juillet. Un soleil fou ne veut pas se coucher dans le ciel immense du Nord. Une maison mobile au bout d'un chemin de terre. Un chien fou s'enrage. Jay revient après sept ans de « trips de fou aux États, dans l'Ouest » … ailleurs. Le fils errant retourne chez son père et l'accule au pied du mur qu'il a dressé entre eux. Pour l'amour de sa mère, de sa sœur et de soi, il faut en finir. - « T'es encore vivant, toé ? » Prise de parole présente ici la troisième édition de la première pièce solo de Jean Marc Dalpé qui lui a valu son premier prix du Gouverneur Général en 1988.
«Jean Marc Dalpé réussit à concilier recherche formelle, poésie et langue parlée (…) La violence de ce monde est traduite avec une vivacité exceptionnelle qui met en jeu une émotion vive allant jusqu'au désespoir ». ( Jury, prix du Gouverneur général.) / L'histoire de Marie est celle d'un drame qui lentement nous est révélé à travers la narration de trois différents personnages qui l'ont connue et aimée. Passion, désir, trahison, abandon sont autant d'éléments qui composent ce roman aux accents lyriques et violents dont la langue et le style témoignent admirablement. Roman incendiaire, polyphonie de voix emmêlées et entêtées, ce vent qui éparpille n'épargne rien ni personne, pas plus ses personnages que son lecteur : car l'histoire de Marie appartient à l'inconscient collectif autant qu'à la passion singulière ; c'est une histoire qui remue nos émotions comme notre mémoire. « Un vent se lève qui éparpille » est le premier roman de Jean Marc Dalpé.
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