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«... Philippe ne partit pas le mardi, et bien d’autres mardis suivirent, sans que l’idée de fuir le préoccupât de nouveau. D’abord espacées, ses relations avec M. Chanteleu étaient devenues fréquentes. Le voisinage, les occasions sans cesse renouvelées de se voir, avaient resserré leur intimité. Tout lui était prétexte pour aller à la maison aux toits rouges, et l’automne approchait sans qu’il s’aperçût que les arbres perdaient leurs feuilles. Un moment, il avait craint les journées brèves, les soirées longues ; maintenant, il aimait l’heure où l’on allumait les lampes, chez lui, parce qu’elle le rapprochait du lendemain, chez M. Chanteleu, parce que, dans l’intimité de la maison tiède, il voyait la lumière passer dans les cheveux d’Anne-Marie. Assis près d’elle, il évoquait les souvenirs de l’été disparu, leur première rencontre, leur retour de la gare et les promenades en forêt...»
"I am neither a roué nor a degenerate; yet there are days when certain visions rise so definitely before me and I am a prey to such violent desires, that if, hitherto, I have been able to resist their attraction, it is impossible for me to say whether, an hour hence, I shall be able to do so. At other times, I feel strangely weary, as though I had just accomplished some gigantic task. I feel that my bones are broken, my muscles torn, and it is when I wake up that I feel this-when I wake up, after eight hours' sleep and rest, following no excess and troubled by no dreams. . . . I also have fits of inexplicable rage; of fury that would urge me to any crime; preconceived dislikes; I am so sensitive and excitable, that a word, a gesture, are sufficient to unhinge me: I suffer almost physically from all these things."
Barrabas, premier roman-feuilleton de Maurice Level dans Le Journal, y paraît en 83 épisodes du 27 février au 20 mai 1920, parallèlement à la projection du film de Louis Feuillade sur les écrans. Conteur et chroniqueur depuis 1901 dans ce quotidien, Maurice Level n'intervient qu'à la demande du Journal, lequel aura été approché par Feuillade. Frêle vieillard - du moins en apparence - au faîte de sa puissance néfaste, Barrabas (Strelitz) est un chef de bande impitoyable. Fourbe et déloyal, il s'empare de la fortune du banquier Mortimer et tente ensuite de corrompre l'avocat Jacques Varèse qui commence à s'intéresser à ses activités. Ne parvenant pas à retourner celui-ci, une lutte féroce s'engage alors entre eux. Dans sa postface, Jean-Luc Buard revient longuement sur la réalisation du film. Une galerie photographique provenant des archives de M. Champreux, petit-fils de Feuillade, ainsi qu'un inventaire de 110 ciné-romans publiés en feuilletons dans les quotidiens de 1915 à 1927 terminent ce volume.
Après l'obtention de son diplôme de médecine, Maurice Loewel dit Level commence à écrire des contes et nouvelles. Le succès venant, il se consacre principalement à l'écriture, collaborant à de nombreux journaux et revues. Il reste connu comme un maître de la peur . En 1923, il publie La Cité des voleurs dans le magazine Lecture pour tous.Un jeune fils de famille entièrement ruiné, François de Guerlant, se voit forcé d'entrer dans une immense et ténébreuse affaire que dirige un extraordinaire patron : M. Dassy de Tharn. Dans cette affaire étrange, les gens n'ont aucun nom, mais de simples numéros. Piégé par son employeur, le jeune homme, sentant qu'il ne pourra jamais prouver son innocence, s'enfuit au Klondike où il se rallie à une bande d'individus louches se dirigeant vers une cité mystérieuse ignorée de tous les gouvernements, mais connu de tous les voleurs : une cité inquiétante, où vit la plus redoutable des associations disposant de ramifications innombrables dans le monde.
Après l'obtention de son diplôme de médecine, Maurice Loewel dit Level commence à écrire des contes et nouvelles. Le succès venant, il se consacre principalement à l'écriture, collaborant à de nombreux journaux et revues.Ce volume réunit pour la première fois les quarante contes que Maurice Level a publiés dans le quotidien sportif L'Auto, de 1904 à 1910, d'abord sous le pseudonyme de Hemelle. Journal littéraire méconnu dirigé par Henri Desgrange, L'Auto accueillait les plus importants écrivains-journalistes de son temps, tels Maurice Leblanc, Jean Richepin ou J.-H. Rosny qui se donnaient pour mission de promouvoir et de défendre l'éthique sportive par la littérature, contes, chroniques ou articles.Alternant conte bouffon ou tragique, Maurice Level cherche surtout des situations burlesques impliquant automobilistes ou cyclistes.Complété d'une bibliographie, ce volume a été préparé par Jean-Luc BUARD (co-fondateur et rédacteur en chef de la revue Le Rocambole).
Maurice Level (1875-1926) est connu comme un maître de la peur . Deux ans après sa mort, Le Matin publie en feuilleton son dernier roman, Le Marchand de secrets , resté inachevé et terminé par Jean Prudhomme.Dans la principauté de Salz et Béclar la police s'inquiète d'une infiltration de révolutionnaires étrangers. Des mesures sont prises pour que soit surveillée la région de Bellavista. Là se dresse un ancien rendez-vous de chasse, dans lequel le grand-duc Éric, escorté de son officier d'ordonnance, Wolfram d'Oxet, se rencontrerait fréquemment avec une femme. Or le jeu des alliances veut que le grand-duc Éric se marie avec Stéphanie de Weisbourg, archiduchesse d'Harreluise, un état voisin. Mais Éric aime Claudie, fille de François de Porquerolles, son grand-écuyer, et décide alors de s'enfuir avec elle. On les retrouve, peu de temps après, tous deux morts au rendez-vous de Bellavista. Les recherches s'égarent. Le mystère reste impénétrable.
L'épouvante / Maurice LevelDate de l'édition originale: 1908Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
WORK IS IN FRENCH This book is a reproduction of a work published before 1920 and is part of a collection of books reprinted and edited by Hachette Livre, in the framework of a partnership with the National Library of France, providing the opportunity to access old and often rare books from the BnF's heritage funds.
L'alouette: roman / Maurice LevelDate de l'édition originale: 1918Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
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