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En Russie, Pelagie, femme et mere d'ouvrier, est effrayee par les intentions politiques et revolutionnaires de son fils Pavel. Et pourtant, par amour pour sa famille et le peuple, s'eveille petit a petit en elle une fougue contre les injustices vecues par les travailleurs de la societe tsariste. Face a l'arrestation soudaine de Pavel, et aux persecutions et aux deportations, Pelagie leve le drapeau revolutionnaire et reprend en main un combat infernal...Temoignage d'un mouvement ouvrier revolutionnaire russe, quelques annees avant la Revolution d'Octobre, ce chef-d'A uvre de la litterature russe est aussi le portrait d'une femme du peuple prete a tout pour les libertes de chacun. -
Le petit Alexis Pechkov assiste dans la cuisine familiale à l’agonie de son père, étendu sur le sol, et sept ans plus tard à la mort de sa mère. Orphelin recueilli par un grand-père qui ne cesse de le battre sans raison, et par une grand-mère soumise à l'autorité de son mari, l'enfant sombre dans un enfer quotidien. Pourtant, aussi dures soient ces années, Alexis Pechkov transforme peu à peu ses malheurs en contemplation et fulgurances poétiques.Ce récit autobiographique relate les premières années de la vie de Maxime Gorki. De part son vécu, il expose au monde les infortunes et les difficultés qui écrasent les paysans de la Russie du XIXe. Il fait ainsi de ce roman un tableau des classes « misérables » de la Russie profonde.Maxime Gorki (1868-1936) est un écrivain russe, précurseur du réalisme socialiste. Enfant pauvre et adolescent errant devenu dès ses débuts auteur à succès, il dénonce, en accord avec ses engagements politiques aux côtés des révolutionnaires bolcheviques et de Lénine, la société tsariste et dépeint les bas-fonds misérables et délaissés de la Russie. Il sera plusieurs fois emprisonné pour ses prises de position. Parmi ses romans, son plus grand chef-d'œuvre est « La Mère ».
Après quelques années passées à Capri, lors de son exil politique, Maxime Gorki s'inspire de cette terre italienne où il a trouvé le repos, et dresse le portrait d'un pays aux couleurs du soleil. Mais derrière ses élans poétiques et ses descriptions lyriques transparaissent, dans vingt-deux contes, ses tendances littéraires fondamentales : l'amour de la justice, et un naturalisme engagé à dévoiler au regard de tous les malheurs des « classes misérables ».Ainsi, à Naples et à Gênes il traite de la grève des conducteurs de train et de tramways ; et il expose tantôt les conditions de travail des pêcheurs, tantôt celui des paysans.Maxime Gorki (1868-1936) est un écrivain russe, précurseur du réalisme socialiste. Enfant pauvre et adolescent errant devenu dès ses débuts auteur à succès, il dénonce, en accord avec ses engagements politiques aux côtés des révolutionnaires bolcheviques et de Lénine, la société tsariste et dépeint les bas-fonds misérables et délaissés de la Russie. Il sera plusieurs fois emprisonné pour ses prises de position. Parmi ses romans, son plus grand chef-d'œuvre est « La mère ».
Ce roman décrit l'évolution intellectuelle d'une mère de famille ouvrière dans un faubourg industriel de la Russie pré-révolutionnaire, dont le fils Pavel (ou Paul) est militant socialiste. D'abord, effrayée par les dangereuses idées de son fils, qu'elle ne comprend pas, elle tombe ensuite sous le charme des camarades de Pavel, pleins de fougue, d'idéal et d'amour pour l'humanité. Petit à petit s'éveille en elle la conscience de l'injustice vécue par les travailleurs dans la société tsariste. Lorsque Pavel est arrêté une première fois, la mère prend sur elle de continuer la diffusion clandestine de tracts au personnel de l'usine où travaille Pavel, afin de sauver son fils de prison.Plus tard, lorsque Pavel est arrêté de nouveau pour avoir organisé une manifestation du 1er Mai dans son faubourg, drapeau rouge en tête, la mère se voit contrainte de quitter son domicile pour la ville, et doit partager pour de bon le quotidien des révolutionnaires socialistes. Elle réapprend à lire, participe à la distribution du journal, à des bagarres avec la police, et voyage pour faire passer de la littérature interdite à la campagne, chez les paysans, auprès de qui elle sera bien accueillie pour la simplicité de ses manières qui tranche avec celle d'autres révolutionnaires issus de familles bourgeoises. La mère devient progressivement une véritable militante socialiste. Le récit prend fin brutalement, avec son arrestation, ce qui la consacre ainsi une révolutionnaire accomplie.
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