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Le fou. Michael Leps est l'auteur de ce récit, mais ne lui dites pas. Il ne le sait pas. Comme il ne sait pas que toutes les histoires (trois) qu'il a rédigées jusqu'à présent sous la dictée d'une voix intérieure sont VRAIES. Mais il y a des tas de choses que Michael ne sait pas. La première, bien sûr, c'est qu'il est fou. La deuxième, qu'il est amoureux. La troisième, qu'un défunt lui parle. La quatrième, comment aborder...... la deuxième seconde. Mélissa, treize ans, se souvient d'avoir été poussée, ou d'être tombée, ou les deux... avec violence en tout cas. Et d'avoir entendu un claquement. Comme celui d'une porte. Ce qu'elle ne comprend pas, c'est de se retrouver assise par terre, toute nue et le dos appuyé contre un mur glacé. Et... au milieu de tous ces gens qui ne la regardent pas. Et... dans cet endroit, bruyant, trop éclairé qui, pense-t-elle, doit être une station de métro, mais elle n'en est pas certaine car elle n'en a jamais vu. Ce qu'elle soupçonne avec une acuité indéniable, par contre, c'est d'avoir franchi la deuxième seconde. Ce que l'on nomme communément...... la mort. « Ne comptez pas sur moi pour vous dessiner une carte de l'Au-delà ou de l'En-deçà, ou quel que soit le nom de ce foutu monde... » On est averti. Ryan n'en dira pas plus. Ou guère. Pour une bonne raison, il ne sait pas grand-chose de son univers, à part... qu'il a été désigné pour accueillir ceux qui sont comme lui. Morts. Assassinés. Il reçoit donc ces Nouveaux Arrivés, afin de les préparer à un mystérieux Départ.
"Comme souvent ces derniers temps, depuis que la décision de quitter la police s'était imposée à mon esprit d'une manière autoritaire, et plus encore, depuis le décès de Fassiha, je ne me souvenais pas de m'être réveillé, douché, d'avoir déjeuné, pris ma voiture, cherché un emplacement pour me garer, monté les cinq marches menant au commissariat, puis...J'étais là, simplement. Sans que je puisse dire à nouveau, tant il me semblait ne jamais quitter ces lieux.J'étais là pour encore une semaine."L'heure de la retraite a donc sonné pour le commandant Stefan Borges. L'heure du bilan. L'heure des souvenirs.L'heure de vérité.Il est prêt mais ne le sait pas encore.Une femme va l'aider.Venue d'un passé soigneusement occulté.Roman sombre, journal d'un fou, huis clos surnaturel, "A propos de moi... S. Borges" décrit sans complaisance les turpitudes d'un trio d'anges déchus, obsédés par la laideur; d'assassins en quête de jouissance mais aussi de ressenti. Ce qui ne faisait que transparaître dans "Elle Pleure pas Lucy" et dans "Lough Neagh" se révèle enfin dans cette oeuvre, au long de laquelle, Michel Plès exploite les codes usuels du polar (suspense, ellipses, coups de théâtre...) pour simplement raconter une histoire de désirs, de folie, et, surtout, d'amour.Sombre, oui.
Dans un pays qui pourrait bien se situer entre l'Océan Atlantique et l'Océan Pacifique, une vallée au nom improbable, Boneville, cernée de hautes collines sylvicoles et fermée par un lac artificiel, tente de survivre à son histoire. Comté ? Ville ? Ou simplement cul de basse fosse négligé et moqué de tous ? Pour les rudes habitants de la Vallée, la dernière proposition tient lieu de devise. Et si cette devise ne s'étale pas au fronton de la minuscule mairie, c'est justement parce que la façade de ladite mairie accuse une largeur insuffisante pour y inscrire une aussi longue profession de foi. Un maire : Hannah McBain, un shérif : John Connelly, un directeur de « centre commercial » : Hankel Stormwater, un éleveur de visons : Tom Otton... Et bien d'autres. Tous enfants du Lac. Tous maudits. Même Jeremy Costello. Pourtant, lui, il n'est pas né dans le Lac. Mais sa Maman, oui. Comme la Maman de Lucy. Jeremy, dix ans, débarque à Boneville. Son histoire dans sa valise. Une histoire qui va se mêler à celle de la Vallée. Une histoire qui commence il y a une dizaine d'années mais qui flotte entre passé et présent. Parce que, à Boneville, c'est ainsi que le temps passe.
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