Books by Ouida

Ariane. Tome 2 / Ouida; roman traduit de l'anglais... par B. BuissonDate de l'édition originale: 1879Collection: Bibliothèque des meilleurs romans étrangersLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Ariane. Tome 1 / Ouida; roman traduit de l'anglais... par B. BuissonDate de l'édition originale: 1879Collection: Bibliothèque des meilleurs romans étrangersLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Amitié roman (Nouv. éd.) / Ouida; imité de l'anglais... par J. GirardinDate de l'édition originale: 1899Collection: Bibliothèque des meilleurs romans étrangersLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Ouida had one of the most powerful radical conservative voices of the late nineteenth century. Known primarily as a colourful and eccentric novelist, she embodied in her forthright essays a much more piercing energy and single-minded verve. The majority of these ten essays were first published in the early 1890s in the pages of the Pall Mall Magazine, the Fortnightly Review and the North American Review, journals of serious cultural and political debate where she rubbed shoulders with commentators of all persuasions. Ouida's decidedly original point of view added fire to their bloodstreams. All manner of subjects interested her, whether it be what she saw as the phenomenal vulgarity and dangerous venality of modern society in The Sins of Society, Conscription and O Beati Insipientes!, or the nature-hating disasters of modern outdoor design and town planning in Gardens and The Passing of Philomel, or, most searchingly, the grotesque stupidities of the modern political and cultural life of her beloved adopted Italy in four passionate cries of outrage included here. Perhaps this book's most amused and cool-headed piece, The Failure of Christianity, strips away the humbug of organised 'religion' and demolishes its time-serving with panache. In all of these pieces Ouida takes no prisoners. Utterly independent in outlook, she is more than happy to heap malediction upon the heads of peasant and royal alike, to praise unfashionable viewpoints, and to strike a blow, as she saw it, for those few enlightened souls who were in love with freedom, inspired by history, architecture and art, enthused by nature and empathetic toward animals. For Ouida, these qualities of higher sensitivity were definitive of civilisation in its true sense, and horrendously lacking in late nineteenth century Europe. One can only wonder with a shiver what she would have made of our twenty-first century life...