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Die mitreißende Geschichte eines Manns, der vor einer lebensverändernden Entscheidung steht!Gemeinsam mit seiner Tochter Lydia reist Sir Thomas Nevil nach Korsika. Auf der Schiffsreise treffen die beiden auf den jungen Oberleutnant Orso della Rebbia, der nicht in sein Heimatdorf zurückkehren will, da er besorgt ist, in die Geschichte einer Blutrache verwickelt zu werden. Dort wurde Orsos Vater nämlich vor Jahren ermordet und nun scheint auch der Schuldige gefunden zu sein. Doch soll er seinen Vater rächen oder nicht? Der 1802 in Paris geborene Prosper Mérimée absolvierte ein Studium der Rechtswissenschaften, betätigte sich aber bereits gleichzeitig auch als Autor. Schon früh hatte Mérimée Zugang zu den Pariser Künstler- und Literaturkreisen, wodurch er auch Bekanntschaften hatte, die ihm in seiner späteren politischen Karriere von Nutzen wurde. Sein erstes gedrucktes Werk erschien 1825, jedoch erlangte er erst ein paar Jahre später Ruhm durch eine Serie von 25 Erzählungen. 1870 verstarb er in Cannes.
" Le Carrosse du Saint-Sacrement ", avec Maria Casarès et Georges Wilson (extraits des scènes IV, VII et IX), régie de Jean Vilar. " Le Carrosse du Saint-Sacrement " est une des œuvres les moins connues de Mérimée. Ce n'est point là un drame tragique et sanglant rappelant " Carmen ". Mais la note espagnole où excelle Mérimée y sera. Vraiment, vous entendrez là un chef-d'œuvre littéraire où l'adresse scénique égale la fantaisie. Le personnage principal – un Vice-Roi du Pérou – est dessiné avec une ponctualité et un relief étonnants. On retrouvera là, sous un aspect nouveau, l'éternel duel entre l'homme et la femme qui est celui d'Alceste et Célimène, Boubouroche et Adèle... (J. Copeau, Comoedia, 3-3-1920). Le Théâtre National Populaire, sous la direction de Jean Vilar, a présenté Le Carrosse du Saint-Sacrement pour la première fois au Grand Théâtre de Bordeaux, le 22 Mai 1958, lors du IXe Festival de la Ville de Bordeaux. " ... Nous avons assisté l'autre soir, à Chaillot, à un récital de la Casarès dans le Carrosse, et ce fut un enchantement... et je me hâte d'ajouter que lorsque le partenaire est Georges Wilson, c'est-à-dire un parfait comédien, aussi inspiré que la Casarès dans son registre d'antithèse, le spectacle devient une fête sans pareille pour tous les aficionados du théâtre ". Morvan-Lebesque, Carrefour " Ce dialogue Wilson-Casarès renouvelle l'intérêt... L'un dur, l'autre échappant à la coquetterie, jouant d'une manière plus dégagée, comme une femme sûre de ses droits, de ses désirs et de ses plaisirs, et non pas fascinée par ce carrosse comme une alouette par un miroir... C'est une réussite donil faut féliciter Vilar, Casarès et Wilson ". P. Marcabru, Arts
Mené en bateau par sa femme, le Père Ubu renverse le roi Vanceslas, fais tuer les nobles et magistrats de Pologne, et arrête le capitaine Bordure qui l’a aidé dans le coup d’état, dans le seul but de s'empiffrer et de s'enrichir. À lui seul, il étale la couardise, l'avidité et la vulgarité des usurpateurs totalitaires.Parodiant Shakespeare, Alfred Jarry brise les conventions théâtrale, crée un personnage iconique, et se fait précurseur de deux genres : le surréalisme et le théâtre de l'absurde.Alfred Jarry (1873-1907) poète, romancier et dramaturge connu pour sa pièce « Ubu roi » et le personnage d’Ubu, qu’il reprendra dans plusieurs de ses ouvrages. Ce personnage burlesque, inspiré par un de ses professeurs du lycée, et auquel Alfred Jarry s'identifie de plus en plus, est le héros de ses pièces de théâtre avant-gardistes.
Au XIXe siecle, les francais ont envahi Naples, et le Roi Ferdinand doit fuir. Seuls restent les habitants, pauvres, sans armes, mais certains d'appartenir a leur terre natale. Dans un roman labyrinthique, le comte Marin de Monteleone mene avec eux cette guerre en secret. Pieges, complots, crimes, suicides : rien ne les fera se soumettre a un Napoleon trop present."e;Les Compagnons du Silence"e; met en avant l'unite d'un peuple, et fait la genese de la Camorra - la mafia italienne.-
A huit ans, Don Juan est aussi doue avec les armes que les textes religieux. Il passe son temps a se battre contre des citrouilles et a fabriquer des croix en bois. Pour autant, son adolescence est une autre histoire...A dix-huit ans il se fait entrainer par un etudiant dissident de Salamanque. Ensemble ils goutent au plaisir de la chair et seduisent inlassablement les jeunes femmes. Mais maudit soit Don Juan pour toujours aller trop loin... Alors qu'il tue pour des amourettes et seduit une nonne, sa redemption sera penible.Paru en 1834, la nouvelle "e;Les Ames du Purgatoire"e; est une reecriture de Don Juan. Espagne, duels et coups de theatre, Prosper Merimee en fait une aventure de cape et d'epee inspiree d'un personnage reel : Don Juan de Marana.-
A Brest, le lieutenant Roger est tombe amoureux de Gabrielle. On la dit etre une actrice colerique et fondamentalement independante. Pourtant, Roger entrevoie l'espoir de conquerir son cA ur. Alors meme qu'elle lui renvoie un bouquet de fleur a la figure, il lui ecrit vingt lettres par jours, se bat pour elle contre trois officiers, et triche au jeu pour lui offrir une fortune fabuleuse..."e;La Partie de Trictrac"e; raconte l'histoire d'un homme eperdument amoureux d'une jeune actrice, et pret a tout pour lui plaire.-
Apres six ans de mariage, Julie de Chaveny ne supporte plus son mari. Tout est repoussant chez lui: sa facon de boire du cafe, de manger, de parler, de s'occuper de ses danseuses, et de l'embrasser sans consentement...Mais ses souffrances et son ennui sont bientot termines. Darcy, un de ses soupirants d'autrefois, est de retour en France apres un long voyage d'affaire a Constantinople. Le desir s'empare d'elle tout entier: elle se serre contre lui, se laisse envelopper dans son manteau, et s'abandonne a un amour qui bourgeonne.Paru en 1833, ce roman raconte l'histoire d'une femme blesse par un mariage et a la recherche d'un veritable amour. A trente ans, Prosper Merimee s'inspire peut-etre de sa courte idylle avec George Sand.-
Auguste Saint-Clair est un jeune homme fier, soucieux des opinions, et d'une sensibilite a fleur de peau. Lorsqu'il rencontre Mme de Coursy, il tombe sous son charme. Elle est jeune, perspicace et seduisante. Alors qu'elle devient sa maitresse, Auguste est ronge par la jalousie et le doute. Pourquoi Mme de Coursy tient-elle tant a ce vase etrusque que lui a offert son ancien amant?Parue dans la "e;Revue de Paris"e; en 1830, la nouvelle "e;Le Vase etrusque"e; raconte l'histoire d'un homme jaloux et possessif.-
Aussi cruels que les contes de Perrault, aussi edifiant que les histoires d'Andersen ; entre ballades illyriques avec pour paysages la Dalmatie, la Croatie et la Bosnie Herzegovine, et intrigues aux details violents et crus, La Guzla est une incroyable collection de poemes.Narrees par un joueur de gusle, ces recits folkloriques font voyager tour a tour dans le monde des vampires, de la vengeance et du mauvais A il. Merimee devoile un univers des plus sombres ou le surnaturel domine.Ecrit en seulement quinze jours a l'aide de quelques livres illyriens, et publie sous l'anonymat, le recueil connut un succes retentissant et fut traduit en Russe par Pouchkine.-
Il y avait autrefois un jeune seigneur qui aimait le jeu tant et si bien qu'il perdit un jour tout ce qu'il possédait et fut forcé de se retirer dans sa dernière demeure, un petit manoir dans les collines de Cava.Trois ans s'étaient écoulés depuis qu'il vivait dans la solitude. La journée il chassait, le soir il jouait aux cartes avec le métayer.Un jour, en revenant d'une chasse, Frederigo fit une incroyable rencontre : Jésus-Christ suivi de ses apôtres vint frapper à la porte de son manoir.«Federigo» est un conte qui allie mythologie grecque et religion catholique. Il raconte l'histoire de Frederigo, un joueur de carte capable de berner la mort.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Le professeur Wittembach se rend un jour en Lituanie au château du comte Szémioth pour y étudier d'anciens manuscrits.À peine le professeur s'installe-t-il au château que déjà on lui raconte des histoires à glacer le sang. La comtesse serait devenue folle de peur après s'être fait lacérer par les griffes d'un ours ; un homme se serait fait agresser à son tour par une bête féroce...Et peu à peu ce que le professeur croit être des histoires devient réalité...Inspirée par la fameuse légende de Jean de l'Ours, «Lokis» est la dernière nouvelle écrite par Prosper Mérimée. Empreinte de fantastique, elle relate le séjour d'un philologue en Lituanie, et l'apparition d'un homme-ours à la suite d'un sombre évènement. «Jean de l'Ours».Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Il y a bien longtemps, le village d'Hamelin fut envahi par des rats aussi tenaces qu'agressifs. Les terres devinrent noires et grouillantes. Pas un grain de blé n'avait échappé au fléau. On avait pourtant tout essayé: les chats, le poison, les pièges. Rien n'y faisait.Alors que les habitants mourraient de faim, un étrange personnage se présenta devant le bourgmestre de la ville. Il portait un chapeau pointu, un pourpoint rouge, et affirmait pouvoir délivrer Hamelin des rats à l'aide d'une flute en bronze.Le conte «Le Preneur de Rats» raconte l'histoire d'un magicien capable de prodiges, à condition d'être justement rémunéré.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Monsieur Seguin avait perdu six chèvres de la même façon. Elles s'ennuyaient accrochées à leur corde. Un matin, elles la cassait, s'en allaient dans la montagne et profitaient de leur liberté. Là-haut, le loup les dévorait.Cette fois-ci, Monsieur Seguin avait choisi une jeune et jolie chèvre, Blanquette, et l'avait attachée au plus bel endroit du pré, en lui laissant beaucoup de corde et des buissons d'aubépines. Elle ne s'ennuierait pas ainsi...Mais blanquette, comme toutes les autres, préféra un jour la montagne et sa bruyère au pré vert et sa sécurité.Parue dans les «Lettres de mon Moulin», «La chèvre de Monsieur Seguin» est une histoire émouvante aux senteurs de province — un classique incontournable. Alphonse Daudet (1840-1897) naît et grandit en Provence. Suite à la ruine de son père, il devient maître d'étude à Alès pour subvenir aux besoins de sa famille. Cette période difficile lui inspirera «Le Petit Chose» (1868). Il se rend ensuite à Paris, où il acquiert une notoriété littéraire. Il devient journaliste et publie un recueil de poèmes «Les Amoureuses». Suite à des relations avec l’entourage de l'impératrice Eugénie, il contracte la syphilis, maladie qu’il subira jusqu’à la fin de sa vie. En 1862, Alphonse Daudet publie 17 pièces de théâtre, puis il se rend en Provence afin de s’inspirer de sa région d’enfance pour écrire ses célèbres contes des «Lettres de mon Moulin» (1866). Durant la fin de sa vie, il subit les complications de la syphilis. Il est aussi sollicité par Edmond Goncourt pour fonder un groupe littéraire qui décernera chaque année un prix à un ouvrage écrit en prose — le prix Goncourt.
Un couple d'amant s'était donné rendez-vous à la gare. Tous deux prirent le train en direction d'un hôtel où ils avaient réservé une chambre sous de faux noms.Alors qu'ils se croyaient seuls dans le compartiment du train, un Anglais habillé de noir, l'air grave, entra et s'installa dans un coin. Dans son sac, le couple aperçut une grosse liasse de billets.Le train s'arrêta, et les amants impatients rejoignirent la chambre dite «bleue», non sans être témoins des colères de l'Anglais sur le quai, et de son entrée dans la chambre accolée à la leur.Qu'importe, les amants profitèrent de leur soirée le visage rayonnant, heureux de se retrouver finalement seuls. Quand soudain, dans la chambre voisine, un cri retentit, suivi d'un lourd fracas...La nouvelle «La Chambre Bleue» raconte l'histoire d'un Anglais suspect, et d'une soirée amoureuse perturbée par ses mystérieux agissements.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
XIXe. Cette nuit-là, la lune est rouge et le sang coule. Un jeune homme à peine sorti de l'école militaire s'est retrouvé dans le chaos d'une bataille. Les Français lancent leur assaut contre les fortifications Russes. L'artillerie, la fumée, les débris et les sifflements des balles : tout rend la progression aussi héroïque que dangereuse.Publiée en 1829 dans «La Revue Française», la nouvelle «L'Enlèvement de la Redoute» est un récit, inspiré de faits réels, sur les horreurs des guerres du XIXème siècle.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencées par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Une vénus en bronze est retrouvée dans la petite ville d'Ille. A peine sortie de terre, on ne peut qu'être admiratif à la vue de ses formes douces et voluptueuses. Mais qu'est-elle vraiment? Si elle déchaîne les passions, une froide rudesse semble émaner de son éternel charme. Tandis que les noces de M. Alphonse et de Mlle de Puygarrig se préparent, ce serait une erreur d'ignorer l'inscription sur le socle... Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencé par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
À peine de retour Corse, Orso della Rebbia doit choisir malgré lui: «schioppetto, stiletto o strada», le fusil, le stylet ou la fuite. Sa sœur Colomba, gardienne des traditions, lui rappelle son devoir de chef de famille: venger leur père assassiné deux ans plus tôt par une famille ennemie. Orso doit faire face aux provocations et aux ruses de Colomba, tiraillé entre dignité et honneur, à la frontière de l'irréparable.Inspiré par son voyage en Corse, Mérimée nous entraîne au cœur de ses vendettas et de ses mœurs.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencé par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
En 1817, un mysterieux criminel surnomme Jean Diable seme la terreur. Gregory Temple, le Superintendant de Scotland Yard reconnu comme un des meilleurs detectives est a sa poursuite. Tous les indices le menent progressivement au milieu de l'ocean Atlantique, a Sainte-Helene, la prison de Napoleon. Considere comme l'un des premiers detectives d'Europe, Gregory Temple arrivera-t-il a dejouer les plans d'un adversaire qui se veut insaisissable?Jean Diable inventera, bien avant Sherlock Holmes et Lecoq, un genre moderne: le thriller.-
Tamango, un guerrier Sénégalais, a pour métier d'échanger les hommes comme l'on marchande du bétail. Un jour, sous l'effet de l'alcool et de la colère, Tamango vend par erreur sa femme au capitaine Ledoux. Ce dernier prendra le large avec les esclaves qu'il a acheté. Les rôles s'inverseront pour Tamango, bien décidé à embarquer à bord de l'Espérance pour réparer un geste qu'il regrette.À travers cette nouvelle saisissante, Mérimée aborde au XIXe siècle la traite négrière, pourtant interdite depuis 1815, sous l'angle critique: c'est un véritable réquisitoire contre l'esclavagisme.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencé par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Aux abords du Nil, dans la vallée des Rois, un jeune aristocrate anglais et un égyptologue allemand font la découverte d'un tombeau jusqu'alors scellé depuis 3 500 ans. A l'intérieur, gît la momie impeccablement conservée d'une jeune fille à la beauté bouleversante. A ses côtés, un papyrus raconte son histoire au temps des Pharaons. Elle s'appelle Tahoser, est fille d'un grand prêtre d'Egypte, et elle voue un amour inconditionnel pour un hébreux, esclave de Pharaon. Un Pharaon qui, riche et puissant, saura manifester sa jalousie.Théophile Gautier reconstitue, grâce à l'imagination et une documentation précise, une Egypte antique qu'il romance en une œuvre révélatrice de la splendeur de la civilisation du Nil.Théophile Gautier (1811-1872) est destiné à une carrière de peintre, mais une rencontre décisive avec Victor Hugo lui donne un fort goût pour la littérature. Victor Hugo lui prêtera sa tendance au romantique, qu’il défendra par ailleurs dans la fameuse bataille d’Hernani, le 25 février 1830, contre le classicisme. En 1831, il participe au petit cénacle, cercle littéraire qui lui fait rencontrer Nerval. Il publie cette année là son premier conte fantastique «La Cafetière», genre qu’il utilisera aussi dans «Avatar» en 1856, et «Le Roman de la momie» en 1858. En 1852, il publie «Émaux et Camées», un recueil de vers qu’il continue de travailler jusqu’en 1872. Il lui vaudra l’admiration de Baudelaire qui lui dédie «Les Fleurs du Mal».
George Sand est grand-mere, et c'est pour faire rever ses petites-filles qu'elle redige dix contes merveilleux. D'ailleurs, c'est toujours d'un enfant dont il s'agit, un peu dans la lune, et surtout reveur. Ici, Emmi est protege dans le creux d'un chene, et la, Elsie aux gros yeux voit des insectes danser. S'il revent, on ne peut que croire a ce monde vivant, a ce monde peuple d'esprits qui nous veulent du bien. Les fleurs parlent, les montagnes s'animent, et les grenouilles sont parfois reines. Les histoires sont delicates, emplies de conseils qui colorent la vie des enfants, comme des adultes. L'on apprend a voler de ses propres ailes, a suivre ses ambitions en ecoutant les statues parler, a accepter les montagnes endormies, et a entendre les nuages chanter.Contes d'une Grand-mere c'est un moment doux, reposant, mais surtout, des reveries de grand-mere qui n'ont de cesse de faire songer.-
Un jour d'automne, les parents de Fortunato partent dans le maquis de Porto-Vecchio, en Corse, visiter un de leurs troupeaux. Fortunato, lui, garde la maison familiale. Mais à peine a-t-il le temps de profiter de sa solitude qu'il entend des coups de feu au loin. Un certain Gianetto, blessé à la cuisse, le supplie de le cacher en échange d'or. Et peu après, six hommes armés font irruption, et lui demande de leur indiquer la cachette de Gianetto en échange d'une belle montre. Fortunato doit choisir. Et bientôt, son père—Mateo Falcone—sera de retour...Dans cette nouvelle, Prosper Mérimée décrit une Corse qu'il n'a vu qu'en livre ; et dans un univers sombre, il pousse à son comble l'honneur et la honte.Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris dans une famille bourgeoise et cultivée, fait des études de droit, mais apprend aussi le piano, la philosophie et les langues. Il travaille dans les bureaux ministériels, puis en tant qu’inspecteur général des monuments historiques. Il se livre ensuite à la littérature. Il fréquente les salons littéraires où il rencontre des personnalités telles que Victor Hugo, Alfred de Musset ou Stendhal. Ses textes sont d’inspiration romantiques. Il publie une suite de nouvelles en 1830, très largement appréciées pour la qualité de son travail, ainsi que «Mateo Falcone» ou encore «Tamango». Ses œuvres prennent ensuite une teinte fantastique et historique («La Vénus d'Ille»), influencé par ses voyages et son métier. Sur cette même teinte, «Colomba» et «Carmen» (1840/1845) sont un véritable succès, ensuite popularisée par l'opéra de Georges Bizet.
Indiana, une jeune femme mariee au colonel Delmare, est contrainte a vivre sous l'autorite et la rudesse de son epoux. Elle manque de nouveaute, d'une fougue qui puisse la faire echapper a cette routine monotone et parfois violente. Tout la disposait a etre sauve par un amour naissant, par un homme seduisant: Raymon. Mais le desir du jeune homme semble jour apres jour trop intense, devorant son entourage et Indiana. Raymon n'est-il pas aussi rude que le colonel?Oppresse par son mariage, et cette nouvelle relation destructrice, Indiana est le symbole d'un genre. George Sand denonce, pour la premiere fois camouflee derriere un pseudonyme masculin, les conditions de vie des femmes du XIXe siecle."e;J'ai ecrit Indiana avec le sentiment non raisonne, mais profond et legitime, de l'injustice et de la barbarie des lois qui regissent encore l'existence de la femme dans le mariage, dans la famille et dans la societe ."e;-
Carmen est une femme sauvage, sans tendresse, qui suscite la passion au premier regard. C'est le cas du narrateur, personnage que le mythe a delaisse, un savant francais ensorcele par la belle gitane, mais aussi de Don Jose qui lui voue un amour merveilleux et funeste. Carmen est insaisissable, envoutante. C'est une incarnation de la litterature, un symbole de la liberte dans l'amour, de la corrida du langage - mais l'aimer conduit au pire destin.Prosper Merimee revisite avec ironie un monument de la litterature francaise: une Espagne romantique aux bohemiens transis d'amour.-
En 1720, Nicolas Treml de La Tremlays voit chaque jour sa terre natale, la Bretagne, mise a mal par le pouvoir royal. Soutenu par tous les pauvres gens de la foret de Tremlays, le marquis fait une tentative desesperee: defier en duel le regent de France. Mais pendant son absence, son heritier, Georges, disparait alors qu'il chassait, et c'est le severe Herve de Vaunoy qui s'empare du domaine. Une periode de chaos s'installe alors...Mais un jour, surgit de la foret le Loup Blanc, un mysterieux justicier bien decide a retablir l'ordre.-
Il ricco proprietario terriero De Peyhorrade scopre delle statue di bronzo di Venere sulla sua proprietà. De Peyhorrade domanda ad un esperto di antiquariato, che esamina le statue e ne conferma il buono stato. Al suo arrivo, l’esperto è che colpito dalla bellezza di Clara, la nipote di Mr De Peyhorrade, che assomiglia in modo impressionante alla statua... Da questo libro fu tratto un film omonimo in Italiano diretto da Lamberto Bava nel 1981.Prosper Mérimée è stato uno scrittore, storico e archeologo francese. I suoi racconti sono intrisi di una sobria tragicità e hanno uno stile nitido e classico, anche se mantengono il loro carattere fantastico rivelando la forza dello scrittore. Mérimée amava il misticismo, la storia e l’inconsueto e fu influenzato dai romanzi di Sir Walter Scott e dai drammi psicologici di Alexander Pushkin. Fu amico di Stendhal e condusse una vita da bohémien.
Korsika, Anfang des 19. Jahrhunderts. Mateo Falcone ist ein respektierter und angesehener Mann und lebt zusammen mit seiner Frau und seinem Sohn Fortunato auf einem Gutshof. Als Mateo Falcone und seine Frau eines Tages aufbrechen, um nach einer Schafherde zu sehen, lassen sie ihren zehnjährigen Sohn auf dem Gut zurück. Wenig später taucht ein angeschossener Bandit auf dem Gut auf, der sich vor der Polizei verstecken möchte. Fortunato versteckt ihn daraufhin in einem Heuhaufen. Als die Polizei eintrifft, verneint Fortunato den Banditen gesehen zu haben. Mit einer List entlocken die Polizisten dem Jungen sein Geheimnis und der Bandit wird festgenommen. Als Mateo zurückkehrt und von der Schmach erfährt, die sein Sohn über die Familie gebracht hat, sieht er nur einen Ausweg, die Ehre der Sippe zu retten: Der Verräter muss getötet werden.Prosper Mérimée (1803-1870) war ein französischer Schriftsteller. Er studierte Archäologie und Philosophie, war mit dem Autor Stendhal befreundet, besuchte die literarischen Salons in Paris und verkehrte mit dem Kaiserpaar. Zu literarischer Berühmtheit gelangte er mit seinen phantasievollen Novellen. Neben Novellen, Balladen und einem historischen Roman verfasste er auch literaturkritische und kunsthistorische Studien und half Napoleon III. bei der Abfassung seiner historischen Werke.
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