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Juste au milieu de l'autre guerre, plus d'un quart de siècle écoulé !, un de mes amis fit un livre, aujourd'hui introuvable, où, voulant peindre l'atmosphère morale des trente années précédentes, il les résuma dans ce titre : Quand les Français ne s'aimaient pas.Mais ce qu'il voulait exprimer était tellement loin de l'esprit de tous ses lecteurs, que ceux-ci firent aussitôt un contresens unanime ; ils se figurèrent qu'il allait leur parler du temps où les Français ne s'aimaient pas entre eux et, divisés les uns des autres, luttaient les uns contre les autres...Certes, l'union nécessaire manque, beaucoup et trop, en France. C'est pourquoi son image y est toujours comprise et désirée, appelée et même fêtée. On aime à répandre des plaintes tout à fait légitimes sur les outrances des partis, leurs passions et leurs injustices ; on élève de grands soupirs vers la plus urgente et la plus légitime des concordes. Pieux désirs ! Valant ce qu'ils valent, ils sont courants.En revanche, notre pays ne donne pas grande attention à ce dont parlait le livre. Nous passons, sans y prendre garde, sur la plus triste et la plus fâcheuse de nos habitudes d'alors, d'aujourd'hui, de toujours : les Français ne s'aiment pas eux-mêmes, comme Français. Ils ont peu d'affection et peu d'estime pour la nature de leur peuple, pour ses traits distinctifs et pour sa figure constante. Et s'ils y pensent, c'est pour regretter, pour déplorer ou même accuser le tempérament national : « Nos Français ! Vous les connaissez ! Tous les mêmes ! » Et en avant, notre légèreté, notre versatilité, notre manque de sérieux, de patience ou de profondeur ou encore de force...Vieille maladie qui fut grave. On l'avait crue guérie par l'exemple extraordinaire des quatre années consécutives tenues dans les tranchées, au long d'héroïques batailles. Mais à peine nos provinces frontières étaient-elles dégagées, le même mauvais refrain a recommencé de courir.De hautes autorités morales ont bien raison de prêcher, comme elles en ont le devoir, aux Français, nés Gaulois, plus de charité réciproque, moins d'acrimonie dans leurs rapports sociaux, un goût moins vif de la querelle et de la dissension, Mais quoi ! c'est la nature humaine, l'homme n'a pas fini d'être pour l'homme un loup. Ce qui est redevenu l'indice commun du Français, c'est un étalage de modestie excessive et même de véritable humilité toutes les fois qu'il s'agit de la valeur et du rang de notre nation. Le Français moderne est toujours prêt à s'effacer devant la première nation venue, en s'inclinant, en lui disant : Après vous, après vous, s'il vous plaît... Beaucoup comptent prendre un
À l'époque où parurent la plupart des études littéraires classiques de ce volume, on discutait beaucoup de deux ou trois idées directrices. Aujourd'hui, on les respire comme dans l'air du temps.Nos débats acharnés, nos copieuses analyses, nos exécutions rigoureuses ont-elles eu quelque part au changement du goût public ? Pour le dire, il faudrait commencer par savoir si la critique peut aider aux apparitions de la vie.De 1885 à 1900 les plus belles étoiles brillaient sur notre ciel, plusieurs levées depuis longtemps, d'autres montant sur l'horizon. Ce n'est certes pas le bien ou le mal dit d'Anatole France, de Maurice Barrès, de Moréas, de Paul Bourget, de Frédéric Mistral ou de Théodore Aubanel qui pouvait ajouter de la flamme à leur flamme vive. Seulement, tout le monde ne leur accordant pas l'attention, l'admiration ou la piété dues, il n'était peut-être pas inutile de conseiller au public de lever le nez dans leur direction.Peut-être aussi que ces beaux chœurs supra-terrestres n'ont une conscience expresse ni de tous leurs accords (qui ne se voient bien que d'en bas) ni de tout leur pouvoir sur la végétation de nos humbles parterres ; les conseils ou les prières de la critique peuvent servir à éclairer et à débrouiller tout cela.Enfin, bien des nuées et des fausses lumières voguaient de conserve avec ces beaux astres pour tenter d'en capter, d'en intercepter la splendeur : troisième utilité d'une critique militante et justicière. Elle chasse l'écornifleur et l'importun ; en servant les meilleurs, elle fait déguerpir les moins bons.S'il est prématuré d'attribuer la qualité d'une renaissance classique à l'effort de ces dernières années, elles ont vu la fuite éperdue de bien des Barbares.Cela aussi servait.
Trait singulier de l'intelligence et du sentiment de ce pays-ci : une conscience française se réveille dans les moments de colère et de deuil. Oui, certes, nos diversités sont inhérentes à la forme de notre sol et de notre esprit, mais il faut bien aussi qu'il y ait « une » France. Oui, notre unité fut un chef-d'œuvre d'art historique, mais cette unité-là dut avoir ses raisons, elle dut correspondre à des réalités tangibles, pour avoir résisté à tant de destructeurs ! Une civilisation, un esprit, une langue, un goût, une société, une politesse, des mœurs, ces expressions d'intérêts profonds ou sublimes, ces hauts produits de notre combinaison séculaire ne peuvent donc se renoncer aussi facilement que l'espèrent nos ennemis. Menacés, ils se développent et la sensibilité patriote qui se manifeste par la force de la douleur peut changer, par sa réaction, bien des choses à notre destin.Mais, surtout, ne supposons pas qu'elle doive jamais devenir assez claire pour commander et régner seule. Le sort de l'Assemblée de 1871 avertit que nous ne sommes pas un pays d'opinion gouvernante. Pure, droite, patriotique, l'opinion française livrée à ses éléments propres est vouée aux déchirements. Mais, de le bien sentir, peut venir le salut. Et, à vrai dire, il vient. Ce que peut créer, ce que crée déjà la renaissance d'un véritable esprit public c'est la vue précise, la pensée clairvoyante de son centre et de ses limites. On revient à cette pensée avec netteté et courage. Comme dans le discours de Ronsard sur les misères de ce temps, on refuse d'admettre que nos longs efforts historiques soient avortés, que la fin de la France approche et que tant de héros et de princes, de citoyens et de soldats aient travaillé, peiné, combattu inutilement. La nouvelle génération, surtout, s'est révoltée contre la résignation à la mort ; elle ouvre de grands yeux sur les enchaînements de causes et d'effets qui ont amené nos malheurs, et la leçon comprise semble devoir être appliquée. Au surplus, la génération antérieure défend avec mollesse l'erreur dont elle fut bercée et, quand elle s'entend âprement reprocher d'avoir élevé sur le trône ou scellé sur l'autel la statue de la Division, l'idée de la Querelle, la notion du Parti, elle cesse de se vanter, comme jadis, d'avoir fait un pas mémorable sur la barbarie des vieux âges : elle tombe d'accord que l'idole était un faux dieu et que les Maîtres avaient raison d'en attendre bien des malheurs. La seule excuse offerte consiste à alléguer que le mal est fait sans remède.
Passons vite. Ces âges n'intéressent que l'historien. Ce que nous cherchons dans la Grèce, c'est ce qui lui donne son rang sur le monde antique et moderne, ce par quoi elle se distingue de tout le reste, ce qui fait qu'elle est elle et non la barbarie. C'est l'âge de la grécité proprement dite, de l'hellénisme pur qui dura deux ou trois cents ans environ pour la statuaire. On en reconnaît le début au vie siècle, lorsque en Attique et dans les îles, l'art se transforme, s'assouplit et se délivre des rigides modèles venus d'Orient. Appuyés sur la tradition toujours embellie et accrue, fiers de leur force, les artistes recherchent alors dans la nature des modèles à surpasser. La période, si elle fut exquise, fut courte ; mais tout homme est forcé d'y lever les yeux quand il se soucie de son ordre intellectuel.Épuisée de guerres intérieures, la Grèce éteint sa flamme quand l'Asie d'Alexandre communique à ses conquérants, non le type d'un nouvel art, mais un état d'inquiétude, de fièvre et de mollesse qu'entretinrent les religions de l'Orient. Adonis et Mithra décomposèrent les premiers le monde ancien. Qu'on ne croie pas que les artistes grecs aient hellénisé ces conceptions ennemies ; ils n'y réussirent jamais. Mais ils furent certainement barbarisés par elles.Alors, cette lumière de l'imagination et de la pensée qui ne dessèche ni la passion ni la verve, mais commande à l'une et à l'autre en leur imprimant une immortelle vivacité, ce caractère de raison et de puissance qui est le propre de la Grèce, disparaissent ou s'atténuent dans les œuvres des Grecs, et, ces œuvres n'étant plus grecques qu'à demi, on peut les négliger comme on le fait des copies comparées à l'original.
L'originalité est un don bien rare chez les poètes ; cette faculté d'invention et de création ne réside qu'en un petit nombre d'esprits, troupeau d'élite, que la nature répand çà et là de loin en loin comme des feux pour guider les pas chancelants de l'humanité. Mais quoique dépourvu de cette étincelle divine, il n'est pas cependant impossible de se faire une place honorable dans les lettres ou dans les arts. Une imitation judicieuse, un goût pur, un vers élégant peuvent compenser les avantages que seul possède le génie. On voit alors ces hommes remarquables à tant de titres se choisir parmi les étoiles qui brillent dans leur firmament, un guide, un ami pour appuyer leurs pas incertains par leurs propres forces. C'est ainsi du moins qu'agit Boileau, l'un des plus sages écrivains du XVIIe siècle. Ce fut Horace qu'il prit pour soutien dans sa carrière ; c'est sur lui qu'il fixa ses regards et modela ses actions. Toute son ambition fut d'approcher de ce grand maître.La chose n'était pas facile : approcher Horace, même de loin, c'est une entreprise hardie - j'allais dire téméraire. Quel Protée aux mille formes que ce poète tour à tour badin et sublime, rieur et mélancolique, sceptique et croyant ! Quelle prodigieuse mobilité dans cet esprit qui unit la finesse et la pureté des formes à la profondeur et à l'étendue des idées ! Il sourit au printemps près d'éclore, et l'acclame de ses joyeux refrains ; il raille l'inquiétude des mortels, et soupire un moment après sur l'inconstance de leur fortune. Il se joue aujourd'hui sur le mode anacréontique des grands noms du peuple-roi ; vous le verrez demain saisir la lyre de Pindare et faire vibrer de ses plus fins accents la corde patriotique. Il a jeté son bouclier à Philippes, il encense Auguste avec la naïveté et l'étourderie d'un vrai poète ; cela ne l'empêchera pas de pleurer sur Brutus, et, le verre en main, de célébrer la vertu de Caton. La nature s'anime sous son léger pinceau. Il revêt des plus brillantes couleurs les sujets les plus arides et ses vers semblent tourbillonner devant nous comme un chœur de Bacchantes enivrées dans le silence de la nuit. Délire orphique, boutades de moraliste, orgies épicuriennes, rien ne lui est étranger : il transforme en or tous les métaux qu'il touche, et il les touche tous. C'est une manière de La Fontaine, grand enfant simple et crédule le matin, moqueur et libertin le soir, également susceptible d'enthousiasme et de découragement, passant d'une émotion à l'autre sans transition avec une incroyable célérité, vivant et mourant en poète, c'est à dire en rêveur, sur la tombe duquel on pourrait graver les vers de Régnier :Je vécus sans nul pensementMe laissant aller doucementÀ la bonne loi naturelle.
L'Action française a le devoir de répéter qu'elle n'a jamais fait appel à un parti. Vous sentez-vous Français ? Traitons des affaires de France au point de vue des seuls intérêts du pays. Voilà le seul langage que nous ayons tenu. Ce sera notre langage de tous les jours. Il ne s'agit pas de mettre en avant nos préférences personnelles, nos goûts ou nos dégoûts, nos penchants ou nos volontés. Nous prenons ce qu'il y a de commun entre nous - la patrie, la race historique - et nous demandons au lecteur de se placer au même point de vue fraternel.Ni les rangs sociaux, ni la nuance politique ne nous importent. La vérité se doit d'avancer dans tous les milieux. Nous savons qu'il y a partout du patriotisme et que la raison peut se faire entendre partout. Quelles que soient les différences des mœurs ou des idées, il existe des principes supérieurs et des communautés de sentiment plus profondes : là disparaît l'idée de la lutte des classes ou de la lutte des partis. Toutes nos conclusions politiques dérivent de ce principe fondamental : il faut que notre France vive, et de cette question posée non point par nous mais par les circonstances : comment la préserver de toutes ces forces de mort ?Assurément, comme nos camarades de la presse nationaliste et conservatrice, nous mènerons de notre mieux la guerre à l'anarchie. Si tout patriote français nous est ami, si toute idée sérieuse nous paraît digne d'examen et de discussion, nous ne ferons aucun quartier aux idées, aux hommes, aux partis qui conspirent contre l'intérêt du pays. Vive l'unité nationale ! Périssent donc tous les éléments diviseurs ! Nous n'épargnerons ni cette anarchie parlementaire qui annule le pouvoir en le divisant, ni l'anarchie économique dont l'ouvrier français est la plus cruelle victime, ni l'anarchie bourgeoise qui se dit libérale et qui cause plus de malheurs que les bombes des libertaires.Nous combattrons, comme nous le fîmes toujours, cette anarchie cosmopolite qui remet à des étrangers de naissance ou de cœur le gouvernement de la France, l'anarchie universitaire qui confie l'éducation des jeunes français à des maîtres barbares, les uns juifs, d'autres protestants, lesquels, avant d'enseigner parmi nous, devraient eux-mêmes se polir au contact de la civilisation, de l'esprit et du goût de la France. Nous montrerons dans la clarté qui suffit à leur faire honte, les plaies d'anarchie domestique, tuant l'autorité des pères ou l'union des époux, et, la pire de toutes, l'anarchie religieuse acharnée à dissoudre l'organisation catholique ou tentant de refaire contre l'Église une unité morale en la fondant sur des Nuées.Allons au fond du vrai : parce que, au fond, ce qui nous divise le plus est le régime républicain et parce que cet élément diviseur par excellence est aussi celui qui organise, qui règle et qui éternise l'exploitation
WE ARE WITNESSING today on the world stage a tragedy of enormous proportions: the calculated destruction of the White Race and the incomparable culture it represents. Europe, former fortress of the West, is now over-run by hordes of non-Whites and mongrels. The same is true of Australia and Canada. The once productive White civilizations of Rhodesia and South Africa, extorted by the ILLUMINATI and its enforcement unit, the United States, have been forced into DEMOCRATIC governments, thereby surrendering their White families to the mercy of numerically superior and mentally inferior Negroes whose ancestors were incapable of inventing even the wheel. The most concentrated attacks on the White Race, however, are occurring in the United States of America.Since WWII the ZIONIST OCCUPIED GOVERNMENT OF THE UNITED STATES (ZOG) has welcomed huge numbers of fecund non-White immigrants predicated upon the ideology that diversity is better. Paradoxically, the LIBERAL establishment is engaged in a counterculture campaign designed to eliminate diversity through racial miscegenation. These inconsistent concepts share a singular ILLUMINATI goal -- destruction of the Aryan race.How differently TALMUDISTS protect their genepool! JEWRY has no intention of becoming part of the UNIVERSAL NATION they are creating for the dumb goyim. United Nations representative Count Folke Bernadotte, before the Irgun murdered him, proposed that Palestinians and JEWS live together under a DEMOCRATIC government. Palestinians accepted. JEWS violently refused, demanding a State exclusively for JEWS. DEMOCRATIC DIVERSITY is good only for goyim! JEWS -- who have made anti-Semitism a profitable business: who bomb their own synagogues; scribble graffiti on their own tombs; mouth "HOLOCAUST" lies -- are revealed today as the world's most virulent ANTI-SEMITES: murdering Arabs at every opportunity and screaming for U.S. assistance when the dispossessed "terrorists" fight back.
Les partis qui ont le plus violemment combattu la politique de Pie X recommencent contre Benoît XV. On verra ailleurs ce que cette hostilité éternelle à la papauté couvre d'hostilité foncière au bien moral et matériel du genre humain ; ces violences systématiques exercées contre le seul îlot de pure humanité que puisse montrer la planète nous arrivent aujourd'hui couvertes du masque du patriotisme blessé. On voit facilement ce qu'il faut en penser, du point de vue de l'Homme. Leur prétexte hypocrite ne doit pas moins nous indigner comme Français.À supposer en effet qu'il se fût élevé un malentendu entre le centre romain et les Français catholiques, l'épiscopat a fait spontanément, avec une promptitude remarquable, tout ce qu'il fallait pour donner leur véritable signification à des termes qui n'étaient pas le moins du monde douteux. Successivement les félicitations du cardinal de Cabrières au cardinal Mercier, l'adresse des évêques de la province de Lyon à la tête de desquels marchait le cardinal Sevin, le document signé par tous les cardinaux français et finalement la traduction donnée par le cardinal Amette, en termes si clairs et si forts, de la pensée pontificale ont fixé l'opinion si elle eût été tentée de flotter. Ce flottement ne s'est pas produit. Le pays a compris. Supposons qu'il n'ait pas compris. Quel était le devoir des esprits politiques ? Assurément, s'interposer, unir leurs efforts à ceux de l'épiscopat et, par-dessus la divergence des sentiments ou des doctrines, s'employer vers le même but, qui était d'éviter au peuple catholique français tout sujet de trouble, comme aussi au Saint-Siège, du côté de la France, de nouveaux soucis. Il ne faut pas, disent les bons médecins, ébranler ce qui est tranquille : quieta non movere. À plus forte raison, faut-il se garder d'élever la température et le trouble dans ce qui s'agite avec fièvre. Nous avons, en France, à porter le poids d'une grande guerre extérieure. Ce n'est pas l'heure d'une lutte intérieure ni d'une guerre religieuse.
My research has revealed that there are two separate and opposing powers in Freemasonry. One, headquartered in London, subscribes to and promotes an idolatrous and pantheistic view of the world. It is monarchist, capitalistic, wealthy, right-wing. The other, in Paris, is atheistic and humanistic in origin and outlook. It is republican, socialist, poor, left-wing.One is Scarlet. The other, the Beast. The breakthrough theory which I have developed with Scripture as my guide makes sense of the massive literature I have collected on Freemasonry as well as its apparent contradictions. My library includes books written by members of and defectors from both English and French Freemasonry.At the beginning of my research, like many other revisionist authors, I thought revisionist authors were reporting one single plot. I gradually realized that many authors were exposing what in reality were often the machinations of one group of conspirators against the other. The devices of both wings of Masonry were so similar that without Scripture as a guide, one could easily perceive only a single intrigue.This interesting twist in the historical drama, confirmed again and again by my research, points to the existence of a struggle between the two powers in Freemasonry. Although revisionist authors are supposedly concerned about one plot, I noticed that all exposes pointed to Paris as the center of an intrigue before World War I. After the War, however, evidence points to the shift of intrigue to London.I will explain this shift in the course of this book.
Freemasonry is a religion of works. One of its many symbols is the balance. Masons believe they will be judged by their works, based upon the balance of right and wrong in their lives. In this Picture Book you will see the true nature of Freemasonry. In II Cor. 11:13-15 we read of the "works" religions:"For such are false apostles, deceitful workers, transforming themselves into the apostles of Christ. And no marvel; for Satan himself is transformed into an angel of light. Therefore, it is no great thing if his ministers also be transformed as the ministers of righteousness; whose end shall be according to their works."All Masons in America enter Blue Lodge, which contains three degrees, illustrated by the three steps at the base of the pyramid. Most Masons (85%) never progress beyond Blue Degrees. Those who wish to delve deeper into the mysteries choose either the Scottish Rite (also called Jewish Rite) of 30 degrees on the left side of the pyramid, or the York Rite (also called Christian Rite) of 10 degrees on the right side of the pyramid, for a total of 33 and 13 degrees respectively. York Rite is practiced only in the Americas, whereas the Scottish Rite is worldwide. Both are Templar Rites. Many Masons in America join both Rites.The highest degree a Mason can earn is 32° Scottish Rite or 13° York Rite. Both are equal in prestige. 33° cannot be earned. It is honorary, awarded by the ruling body of Universal Freemasonry - the Supreme Council. At any given time approximately 5,000 33rd degree Masons are in the world - most of whom hold high positions in their governments.Initially, only 32° Scottish Rite Masons and 13° York Rite Masons could join the Shrine. Shriners, who operate Children's Hospitals, take an oath and pray to Allah, the god of Moslems (see pp. 28-30 this section). However, since 9/11 terrorist attacks on America by Moslems, Shriner membership has been decimated. To keep their Children's Hospitals open, Shriners have opened membership to 3° Master Masons.
La verità, eccola, pura e semplice, l'editoria si trova in una crisi di vendite gravissima. Mica credere a un solo zero di tutte le pretese tirature di 100 000! 40 000!... neanche 400 copie!... incanta-gonzi! Ohimè!... Ohimè!... solo la "stampa rosa"... e ancora ancora!... se la cava abbastanza... e forse i "libri gialli"... i "verdastri"... Fatto sta che non si vende piú niente... grave!... il Cinema, la televisione, gli elettrodomestici, lo scooter, l'auto a 2, 4, 6 cavalli, al libro gli fanno dei danni enormi... tutto "vendita a rate", figuriamoci! e i "week-ends"!... e le belle vacanze bi! trimestrali!... e le crociere Lololulu!... ciao risparmi!... e sotto coi debiti!... non ci resta neanche un dindino!... allora, capirete, comprare un libro!...
L'histoire humaine est composée substantiellement par deux courants de pensée auxquels tous les autres se ramènent comme des mutations accidentelles.La première est LA TRADITION CATHOLIQUE, révélée par Dieu à Adam, aux Patriarches et à Moïse, conservée et transmise par l'ancienne Synagogue mosaïque, (vraie Église de Dieu dans l'Ancien Testament) et appelée même CABALE VRAIE car non pervertie par les Rabbins et les Pharisiens. La seconde est LA CABALE FAUSSE et IMPURE ou GNOSE, qui prend son origine de la VRAIE et PURE CABALE (ou Tradition catholique), et qui a été pervertie ensuite par la méchanceté de l'homme tenté par LUCIFER ; le "Non serviam" et 1'"Eritis sicut dii" constituent en effet le cœur de la GNOSE ou FAUSSE CABALE.LA TRADITION CATHOLIQUE se fonde sur l'être, sur ce qui est immuable, sur l'acte.La FAUSSE CABALE au contraire, se fonde sur le devenir, sur le changement, sur l'évolution et sur le mythe du progrès à l'infini : Dieu n'est donc pas, mais Il devient ou se fait.De ceci naît L'OPPOSITION "PER DIAMETRUM" DES DEUX MODES DE VIE : celui catholique, qui est contemplatif, par lequel l'homme au moyen de l'intelligence et de la volonté cherche à connaître et à aimer Dieu, et celui cabalistico-gnostique, qui est surtout magique, pratique et technique.Le monde actuel, presque complètement cabalisé, a rendu l'homme esclave et "mécanique", seulement capable d'agir, de faire, de s'affairer pour produire, et tout à fait incapable de contempler avec amour l'Acte pur (qui, comme nous le rappelle Notre-Seigneur dans l'Évangile, est "l'unique chose nécessaire", à laquelle il faut subordonner chaque activité pratique, qui si elle ne doit pas être méprisée, ne doit pas non plus avoir la primauté dans la hiérarchie des valeurs de la vie humaine). Avec la FAUSSE CABALE (rabbinicopharisaïque) la créature (comme déjà Lucifer) a la prétention de se faire égale à Dieu par son propre effort et au moyen d'une technique (gnosis). Ce n'est pas Dieu qui sauve gratuitement, par sa pure miséricorde, mais c'est l'homme qui est le perfectionnement et le point oméga vers lequel "dieu" tend de façon panthéiste. La FAUSSE CABALE se fonde sur les trois concupiscences : l'amour désordonné des plaisirs sensibles, des biens périssables et matériels, et de nous-mêmes. LA TRADITION CATHOLIQUE au contraire se fonde sur l'esprit des Conseils évangéliques : l'amour de la souffrance, le détachement des biens de ce monde et le mépris de nous-mêmes en acceptant nos propres limites, pour être attirés par Dieu à participer de sa vie intime et divine d'une manière finie, comme il convient à une créature, au moyen de la grâce sanctifiante qui est "semen gloriæ".St Augustin nous enseigne que "La Cité de Satan est formée de ceux qui s'aiment eux-mêmes
La gran paradoja de la actual crisis económica -que debiera en realidad adjetivarse financiera- es que los hombres no pueden adquirir los bienes que efectivamente han producido. En otras palabras, podríamos decir que nos encontramos en una situación de pobreza en medio de la superproducción. Si consiguiera anclarse firmemente esta idea en los cerebros de las gentes, se habría dado el paso decisivo en el camino de la solución del problema. Sería, en verdad, el primer paso, el paso esencial, el demostrativo de que toda la llamada "ciencia económica" no es más que el fárrago pretencioso y vacuo de un enjambre de payasos, llamados economistas, subvencionados las más de las veces -directa o indirectamente, a sabiendas o, más a menudo, sin saberlo -por los beneficiarios de la demencial situación que padece el mundo.En el mundo civilizado hay suficientes primeras materias, trabajo, maquinaria, mano de obra especializada, conocimientos científicos y tecnológicos y, en general, riqueza suficiente para alimentar -más aún sobrealimentar- a sus habitantes. No obstante, en ese mundo civilizado se producen, regularmente, cíclicamente, crisis "económicas", paro obrero y su corolario: el hambre. La ciencia económica ortodoxa explica este fenómeno de los ciclos de prosperidad y crisis hablándonos de prosperidad ficticia y de exceso de producción, y llega a la insólita conclusión de que es lógico y natural que las gentes se mueran de hambre y miseria al lado de stocks desbordantes. Particularmente he llegado a la conclusión, de que la llamada ciencia económica moderna representa un fenómeno similar al de la pintura que los barbudos intelectuales "hippies" llaman ultramoderna y los arqueólogos antiquísima. Es decir, que es un gigantesco "bluff" que casi nadie osa denunciar por temor a pasar por indocumentado, retrógrado, etc., ante la masa conformista reverenciadora de las ideas establecidas.Por que, dígase lo que se quiera, no es natural -luego no es posible- que la gente se muera de hambre y miseria por haber producido demasiados bienes de consumo.
La forme constitutionnelle qui a pris le relais du féodalisme et de l'absolutisme a été démocratique ; sa forme de domination : ploutocratique. Aujourd'hui la démocratie est une façade de la ploutocratie : comme les peuples ne toléreraient pas la ploutocratie nue, il leur est laissé le pouvoir nominal, tandis que le pouvoir effectif repose dans les mains des ploutocrates. Dans les démocraties républicaines comme monarchiques, les hommes d'État sont des marionnettes, les capitalistes des tireurs de ficelles : ils dictent les lignes directrices de la politique, ils dominent les électeurs par le biais de l'achat de l'opinion publique, les ministres par le biais des relations commerciales et sociétales.À la structure sociétale féodale s'est substituée la structure sociétale ploutocrate : ce n'est plus la naissance qui détermine la position sociale, mais le revenu. La ploutocratie d'aujourd'hui est plus puissante que l'aristocratie d'hier : car rien ne se situe au-dessus d'elle sinon l'État qui est son outil et son complice.Lorsqu'il y avait encore une vraie noblesse de sang, le système de l'aristocratie de naissance était plus juste que ne l'est aujourd'hui celui de l'aristocratie de l'argent : car à l'époque la classe dominante avait un sentiment de responsabilité, une culture, une tradition - tandis que la classe qui domine aujourd'hui est dénuée de tout sentiment de responsabilité, de toute culture et de toute tradition.
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