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Les Francs n'estimoient que la profession des armes ; ils laissoient l'agriculture et les métiers aux esclaves ; tout citoyen étoit soldat et se présentoit toujours armé ; ils se servoient de lances, de javelots, de haches, d'épées, qu'ils appeloient francisques, de casques et de boucliers. Au signal du combat, ils s'élançoient avec une telle impétuosité, que rien ne résistoit à leur choc. Souvent ils brisoient à coups de hache le bouclier de leur ennemi, et sautant sur lui l'épée à la main, ils le tuoient. Ne reconnoît-on pas à cette peinture les Français si redoutables à l'attaque, à l'abordage, à l'arme blanche ? L'ardeur de ce grand peuple ne le laissoit jamais jouir de la paix ; il se battoit en duel pour les sujets les plus légers, aimoit le jeu, les festins, les chants, étoit hospitalier, curieux, exact à remplir ses sermens et à payer les dettes du jeu. Les Francs étoient de haute taille, leur chevelure étoit blonde, abondante et naturellement bouclée ; les rois seuls la laissoit croître. Leur physionomie étoit douce et riante, leur esprit fin, délicat, enjoué, ardent ; enfin ils étoient alors ce qu'ils sont de nos jours, courageux, légers, téméraires et inconstans. Les femmes comptoient avec orgueil les blessures de leurs époux, combattoient à leurs côtés, et vengeoient leur mort ; elles étoient fières, sensibles et fidelles : les Francs avoient pour elles autant de respect que d'amour ; au temple on croyoit à leurs oracles, au conseil on déféroit à leurs avis.
L'Origine, avec un O majuscule, est l'Origine de chacun de nous, de tous, de tout : du ciel et de la terre, de leurs contenants et de leurs contenus ! Que nous soyons croyants ou athées, nos pensées, au moins une fois, se sont dirigées vers cette Origine commune, unique, et son Créateur, qu'il soit appelé Dieu, ou simplement hasard , comme pourrait le décréter celui qui aurait vécu seulement une partie de sa vie sans aborder l'autre. Et qui serait plus habilité pour parler de cette Origine, que ceux-là même qui la vécurent et la racontèrent à leurs descendances, en la gravant, pour l'Éternité, dans la pierre ?... Pour remonter à cette Origine, il convient donc de parcourir à reculons la chronologie analytique du continent englouti.Tous cependant concordent en une seule glorification : celle de Ptah, ou Dieu. Et tous s'achèvent en forme de signal avertisseur, pour tenter d'éviter aux générations futures le renouvellement d'un grand cataclysme.
Il y a environ deux mille ans, apparut en Judée un personnage vraiment incomparable. Par sa doctrine, il éclipsa tous les sages ; par ses prodiges, tous les thaumaturges ; par ses prédictions, tous les prophètes ; par son héroïsme, tous les saints ; par sa puissance, tous les potentats de ce monde.Le drame de sa vie rejeta dans l'ombre les tragédies les plus émouvantes. Son berceau fut entouré de merveilles, puis l'enfant disparut subitement à tous les regards. Trente ans après, il sortit d'un petit bourg perdu dans les montagnes et jeta un tel éclat que tout un peuple ne s'occupa que de lui pendant trois années. On voulut le faire roi, mais les grands du pays, jaloux de sa gloire, le condamnèrent à mort et lui infligèrent le supplice ignominieux de la croix. Après trois jours, il sortit glorieux du tombeau, et remonta dans les cieux, d'où il était venu. De là, malgré les oppositions les plus formidables, il fit du monde entier son royaume, et courba sous son joug les peuples et les rois.
Sans crainte d'exagération, on peut assurer qu'aucun autre livre au cours de ce siècle n'a été l'objet d'autant de commentaires dans la presse mondiale. La valeur définitivement probante de ce livre provient de sa superbe et importante compilation de documents d'Histoire et de sources d'indiscutable importance et authenticité. Ces documents démontrent sans aucun doute l'existence d'une grande conspiration tramée contre la Sainte Église Catholique et contre le monde libre par leurs ennemis traditionnels, à savoir ceux qui prétendent changer le Catholicisme en un instrument aveugle au service du Communisme, de la Maçonnerie et du Judaïsme, pour ainsi affaiblir l'humanité libre, facilitant sa chute et, par là, la victoire définitive du Communisme athée.
Les faits sont les faits : sur les 22 avocats de la Commission Warren, neuf étaient juifs. Un autre était marié à une femme juive. Plusieurs autres avaient des liens avec le lobby israélien. Qui plus est, l'un des membres les plus actifs de la commission, Gerald R. Ford - était le protecteur d'une figure longtemps liée au Mossad et au Syndicat du crime de Lansky. Un autre membre de la commission, John McCloy, était intimement associé à certaines des familles les plus puissantes de l'élite juive. Si la Commission Warren avait été sincère dans son enquête sur la conspiration de JFK - et si elle avait découvert une connexion israélienne -, l'immense "présence juive" au sein de la commission aurait pu fournir les moyens de dissimuler la connexion israélienne. Ce que la plupart des chercheurs n'a jamais pris la peine d'examiner, ce sont les antécédents des 22 avocats qui étaient en fait chargés de l'enquête quotidienne et de la préparation du rapport final et qui, depuis les coulisses, ont filtré les données jusqu'aux grands noms qui ont apposé leur signature sur le rapport. Les faits démontrent qu'il y avait une "présence juive" importante à ce niveau du personnel qui aurait pu avoir un impact substantiel sur le traitement de toute preuve de l'implication du Mossad ou des liens de personnes du Mossad qui ont fait l'objet d'un examen minutieux au cours de l'enquête, en supposant que la déclaration de la Ligue Anti-Diffamation (ADL) du B'nai B'rith, selon laquelle - les Juifs américains sont "sensibles" aux préoccupations de l'État d'Israël - soit vraie.Pour mémoire, cet auteur ne croit pas à la théorie selon laquelle tous les Juifs américains sont nécessairement partisans d'Israël ou obligés de l'être. En fait, pour réitérer ce qui a déjà été dit ici, certains des critiques les plus virulents d'Israël et de ses méfaits ont été des Américains d'origine juive.
Pour Philippe Ormandy, le temps presse : il lui faut retrouver, en cinq jours, l'héritier de Roland Meursault, avant qu'une organisation malfaisante ne s'approprie le patrimoine. Chargé par un notaire de dénicher l'introuvable enfant caché du défunt, Philippe, sans le savoir, met la main dans un engrenage dont la puissante multinationale Merlion Society manipule les rouages. Pour mener à bien sa mission, le héros enquête auprès de personnages plus énigmatiques les uns que les autres ; tous, jusqu'à Ormandy, ont quelque chose à cacher. Et si l'héritier n'était pas celui que l'on croit ?
On the execution of his task, it becomes the Author to be silent. He is aware it must exhibit many faults; but he claims credit for having brought to the undertaking a mind disposed to do his subject as impartial justice as his judgment could supply. He will be found no enemy to the person of Napoleon. The term of hostility is ended when the battle has been won, and the foe exists no longer. His splendid personal qualities-his great military actions and political services to France-will not, it is hoped, be found depreciated in the narrative. Unhappily, the Author''s task involved a duty of another kind, the discharge of which is due to France, to Britain, to Europe, and to the world. If the general system of Napoleon has rested upon force or fraud, it is neither the greatness of his talents, nor the success of his undertakings, that ought to stifle the voice or dazzle the eyes of him who adventures to be his historian. The reasons, however, are carefully summed up where the Author has presumed to express a favourable or unfavourable opinion of the distinguished person of whom these volumes treat; so that each reader may judge of their validity for himself.
A la vérité, ce qu'on appelle pompeusement l' ascension intellectuelle de la femme semble incompatible avec les obligations de l'épouse et de la mère. Dès l'enfance, on initie la future compagne de l'homme aux connaissances les plus indigestes. On accable de mépris la bonne et tendre éducation de famille. Il est tout simple qu'après plusieurs années d'un pareil entraînement cérébral, ces demoiselles préfèrent les exercices de la pensée à toutes les autres joies de la vie, et surtout les libertés douteuses du célibat aux devoirs austères de la famille. Quand elles ont pris goût à l'étude et à l'indépendance, la moindre obligation leur apparaît comme un amoindrissement d'elles-mêmes. Ne leur parlez point de mariage : une créature, qui tient à son autonomie, ne saurait accepter d'être la servante d'un homme, une repasseuse, une cuisinière, une gardeuse d'enfants. Car la femme dans le mariage reste, à leurs yeux, le type de la bonne à tout faire. Femmes de France, sachez donc où l'on vous mène : bien que l'abolition du mariage vous fasse encore hausser les épaules, veuillez retenir qu'elle est l'aboutissement logique du féminisme avancé. On vous dira que le mariage est une invention de la tyrannie masculine ; qu'en affirmant la suprématie du mâle sur la femelle , il assure la domination du fort sur le faible ; qu'en liant la femme pour la vie à son seigneur et maître, il est destructif de la spontanéité des sentiments, il viole les droits de la personne humaine et condamne l'épouse domestiquée au mensonge et à l'asservissement. On vous dira que ce contrat inique et absurde, dernière survivance de la barbarie antique qui faisait de la femme une proie, un bétail, une chose, a été fort habilement consacré par le Code et fort complaisamment béni par l'Église ; qu'en nature et en raison, la femme n'appartient pas à l'homme, mais à elle-même ; que, si la loi et la religion l'ont injustement livrée à un despote, elle a toujours le droit de se reprendre ; qu'ayant un coeur, elle peut en user ; qu'ayant une intelligence et une volonté, elle doit les exercer ; en un mot, que le mariage est indigne d'un être libre.
Dans le féminisme il y a le mot et la chose. Le mot est né en France... Quant à la chose, elle est plutôt d'origine américaine...En réalité, le programme de l'émancipation féminine, que nous étudierons, article par article, suivant l'ordre dans lequel nous venons de l'énoncer, peut se ramener, pour plus de clarté, à deux directions générales qui correspondent à nos deux séries d'études.Dans la première, la femme poursuit : 1º son émancipation individuelle, en réclamant une plus large et plus libre accession aux lumières de la science ; 2º son émancipation sociale, en revendiquant une plus large et plus libre admission aux métiers et professions des hommes.Dans la seconde, la femme entend réaliser : 1º son émancipation politique, en conquérant le droit de suffrage ; 2º son émancipation familiale, en obtenant au foyer plus d'indépendance et d'autorité.Ainsi donc, d'une part, droits de la femme en matière d'instruction et de travail : voilà pour son émancipation individuelle et sociale ; d'autre part, droits de la femme dans les affaires de l'État et du ménage : voilà pour son émancipation politique et familiale.
Paris, écoutez, je n'en rabattrai rien ! Paris tout entier vit dans une folie ardente, inguérissable, féconde, sublime, nourrice d'oeuvres et d'efforts : la folie de l'Amour.Être aimé, aimer au milieu du luxe, tel est l'Idéal auquel sont gaiement sacrifiées toutes ces existences que broie l'impitoyable meule du Travail incessant. A Paris, derrière le milieu qu'on ambitionne, il y a toujours une figure de femme qui sourit et qui vous appelle avec le geste délicieux des sirènes.Ici les femmes savent comme nous quel est le but de la vie. A Paris seulement, elles sont déesses, adorées bien plutôt qu'aimées, et aussi elles ont la confiance et le respect de leur divinité. Sans cesse embellies et lavées à l'immortelle Jouvence, elles osent s'aimer elles-mêmes, et tâchent de gravir marche à marche l'escalier de cristal de la Perfection.
C'est la famille patriarcale telle que Dieu l'a instituée au commencement du monde, et telle que le Christ l'a restaurée. Elle a traversé de bien mauvais jours, et peut-être subit-elle maintenant la crise la plus périlleuse qu'elle ait jamais eu à combattre. Ce n'est plus seulement, comme autrefois, la corruption des moeurs qui la menace ; c'est l'ébranlement même des principes sur lesquels elle repose : Dieu, l'indissolubilité du mariage, l'autorité paternelle. Plus que jamais il appartient à la femme d'être à son foyer la gardienne vigilante de ces principes. Elle ne remplit pas seulement ainsi ses devoirs d'épouse et de mère, elle remplit une mission patriotique. Au milieu des ruines qui nous entourent, elle protège contre l'effondrement général, la seule pierre qui soit restée debout : la pierre du foyer. C'est sur cette pierre seulement que pourra se reconstituer la société française.
Sabido es que todo empobrecimiento de la economía, sea social o animal, es un florecer de lo parasitario y la Finanza es el gran parásito. Pero aquella Revolución americana no tenía sólo el fin usurario de acrecentar el Poder del Dinero; ambicionaba más. El Poder del Dinero, aunque poder político, sólo se había ejercido de manera indirecta, y ahora debían convertirlo en un poder directo. El hombre a través del cual lo ejercían sería Franklin Roosevelt. ¿Ha comprendido?... Anote usted esto: En este año de 1929, el año primero de la Revolución americana, en febrero, sale Trotsky de Rusia; el krach es en octubre... La financiación de Hitler es acordada en julio de 1929. ¿Cree usted todo casual?... Los cuatro años de Hoover son los empleados en preparar la toma del poder en Estados Unidos y en la U.R.S.S., allí, por medio de la Revolución financiera; aquí, por la guerra y el derrotismo subsiguiente... Sabido es que se ha llamado hegeliano al Marxismo. Así fue reducida la cuestión a la vulgaridad. El idealismo hegeliano es la vulgar adaptación a la grosera inteligencia occidental del misticismo naturalista de Baruch Spinoza. ''Ellos'' son spinozistas; acaso sea lo inverso y que el spinozismo sea ''Ellos'', siendo aquél sólo versión adecuada para la época de la propia filosofía de ''Ellos'', muy anterior y superior... En fin, Marx, hegeliano y, por tanto, spinozista, fue infiel a su credo, pero sólo temporalmente, tácticamente. No es, como el Marxismo propugna, por el aniquilamiento de un contrario el devenir de la síntesis. Es por integración superadora de tesis y antítesis como la síntesis se hace una realidad, una verdad en un acorde final de lo subjetivo y objetivo. ¿No lo ve usted ya?... En Moscú, Comunismo; en Nueva York, Capitalismo. Igual a tesis y antítesis. Analice ambas. Moscú: Comunismo subjetivo y capitalismo objetivo, capitalismo de Estado. Nueva York: Capitalismo subjetivo y comunismo objetivo. Síntesis personal, real, verdad: Finanza Internacional, capitalismo-comunista. ''Ellos''.
Toute l'histoire du XIXe siècle est marquée par l'évolution du mouvement révolutionnaire qui va de 1789 au bolchevisme russe.Cette lutte souterraine commença avec la Révolution française que soutinrent les Illuminés rassemblés au convent de Wilhelmsbad sous la présidence du professeur bavarois Weishaupt.En définitive, cela a été l'élaboration d'un milieu mondial à ce point dominé par le capitalisme, anémié par la démocratie, détraqué par le socialisme et divisé par les nationalismes, qu'il n'est plus capable d'opposer la moindre résistance à cette attaque.La révolution bourgeoise et la démocratie, ou la révolution sociale et le communisme, ne sont que les étapes du duel gigantesque entre deux principes personnifiés, l'un par le christianisme intégral, l'autre par l'anti-église. Et si Satan s'est révolté au nom de la liberté et de l'égalité avec Dieu, cela n'a pas été seulement pour ne pas servir , mais pour asservir en se substituant à l'autorité légitime du Très-Haut.
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