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  • by Michel-Jean Sedaine
    £11.49

    Le riche négociant, Vanderk, marie sa fille. Le jour même, son fils doit se battre en duel contre un officier qui a traité tous les commerçants de fripons. Considérant que son père a été insulté, le fils provoque l’officier en duel. L’atmosphère de fête liée au mariage est assombrie par la perspective de ce duel. La scène centrale de la pièce met en scène l’échange entre le père et le fils : le fils se demande si son père a réellement été insulté et s’il ne risque pas de tuer un innocent. Le père condamne le duel, « préjugé funeste » et « abus cruel du point d’honneur », mais il ne détourne pas son fils de son projet pour sauver son honneur.

  • by Louis Hemon
    £12.49

    “ La grande salle du National Sporting Club, celle où se donnent les combats, qui est une ancienne salle de théâtre transformée, achevait de se vider. Les derniers spectateurs s’en allaient à la file et, pour regagner le vestibule et la porte de la rue, traversaient un côté de la salle à manger du Club. Dans cette dernière, autour de petites tables espacées ça et là sur les épais tapis, nombre de gentlemen et de noblemen s’étaient réunis, qui pour boire, qui pour souper plus copieusement, entre amis et membres, maintenant que les intrus amenés là par le seul spectacle des combats étaient partis...”

  • by Léon Ville
    £12.49

    “... L’endroit où ils se trouvaient était complètement dépourvu de broussailles. Seuls, d’énormes blocs de roc s’élevaient de loin en loin; les arbres, d’une hauteur prodigieuse, formaient un immense dôme de verdure que, pendant le jour, le soleil ne parvenait que difficilement à percer ; aussi, à cette heure avancée, l’obscurité était-elle profonde ; mais les Indiens ont ceci de particulier que leur vue perçante peut fouiller les ténèbres, à travers lesquelles ils voient distinctement des objets que les Européens n’apercevraient même pas ; de plus, ils sont doués d’une ouïe si subtile qu’ils perçoivent à de longues distances les bruits les plus légers...”

  • by Maurice Renard
    £13.49

    Inspiré par L’Île du docteur Moreau de H. G. Wells Maurice Renard introduit en particulier une variante forte : le narrateur lui-même se trouve l’objet d’une expérience de greffe par un chirurgien fou, le docteur Lerne.

  • by Maurice Renard
    £11.49

    Un matin, le docteur Bare est retrouvé mort au bord de la chaussée, visiblement victime d’un guet-apens. Les gendarmes trouvent un manuscrit, rédigé par la victime, apparemment oublié par les assassins.Ainsi, dans son manuscrit, le docteur Bare raconte ses retrouvailles avec un de ses amis, Jean Lebris. Celui-ci avait disparu durant la Première Guerre mondiale, après une bataille durant laquelle il perdit la vue. Il fut récupéré par les troupes allemandes, puis confié à un mystérieux docteur qui l’utilisa pour expérimenter un nouveau traitement ophtalmologique. Le docteur Bare cherche à percer le secret que lui cache Jean Lebris après son retour dans son village natal.

  • - L'extraordinaire aventure de Mme M. d'Andurain
    by Marga d'Andurain
    £12.99

    «... Mais à mesure que j’avançais en âge mon cas s’aggravait. J’acquérais un secret mépris et une horreur de la vie paisible et ponsive dont ma famille donnait l’exemple et que menaient, comme elle, toutes les familles des environs. Le code des convenances, le rite des réceptions, l’affreuse banalité des visites échangées, me causaient des haut-le-cœur. Ayant à peine atteint huit ans, je me disais qu’il suffisait de vouloir pour réussir et je me jurais à moi-même que je partirais le plus tôt possible vers des pays de liberté et de soleil.Alors mon indiscipline intérieure, que j’avais un peu retenue jusque-là, dissipa soudain les apparences de ma docilité extérieure. Les choses se gâtèrent, l’insubordination devint le moindre de mes défauts et on me mit pensionnaire au couvent, à 9 ans révolus.Le franchise nette et brutale qui domine chez moi, me rendit odieuse. On vous apprend, on vous ordonne pendant toute votre enfance de dire la vérité, on vous enjoint de ne jamais mentir, et, lorsque vous vous conformez trop complètement aux conseils reçus, vous êtes maladroite, vous vous faites détester...»

  • by Marga d'Andurain
    £12.99

    Ces souvenirs sont une référence pour connaître les mœurs au Proche-Orient pendant les années de 1925 à 1934. Ils sont aussi une autobiographie remarquable pour connaître Marga d’Andurain, une femme aventurière, anticonformiste, qui fut la propriétaire de l’hôtel Zénabie de Palmyre…

  • by Georges De Peyrebrune
    £12.49

    Par sa vérité d'observation, par la beauté de ses paysages, et surtout par la profonde pitié qu'il fait éprouver pour cette malheureuse et inconsciente fille des champs, ce remarquable roman vous donne une émotion pareille à celle que l'on ressent devant les tableaux de Millet. Octave Mirbeau s'est inspiré des thèmes de ce roman pour élaborer l'intrigue de plusieurs de ses œuvres, notamment le Journal d'une Femme de Chambre.

  • by Marcelle Tinayre
    £12.99

  • by Nicolas Berdiaeff
    £12.99

    «... Je ne crois pas à la méthode phénoménologique, qui peut être féconde en psychologie et nous aider à comprendre le métaphysique et le métahistorique, mais la seule méthode que j'admette, à supposer qu'on puisse l'appeler méthode, est la méthode existentielle-anthropocentrique et spirituelle-religieuse. Husserl veut appliquer la méthode phénoménologique à l'étude des essences et Heidegger à celle des existences. Mais cette méthode fait disparaître les existences, et il se produit une objectivation qui cache le mystère de la vie humaine, celui du monde et de Dieu. C'est l'expressionnisme qui est la seule méthode certaine en philosophie. La seule métaphysique possible est la métaphysique prophétique, au sens que donne à ce terme Jaspers, et la métaphysique de grand style a toujours été prophétique. La philosophie existentielle constitue l'expression de mon destin personnel, mais mon destin doit être l'expression de celui du monde et de l'homme en général...».

  • by Francois Pillon
    £9.99

    «... Je me propose de montrer que la conception de la vie, la philosophie biologique, à laquelle Claude Bernard a été conduit par ses expériences et ses méditations, est fort différente de celle que l'école matérialiste et l'école positiviste ont vulgarisée. La comparaison ne manque pas d'intérêt ; on la trouvera, je l'espère, concluante. Je commence par faire connaître exactement la conception des écoles positiviste et matérialiste...»

  • by Nicolas Gogol
    £12.99

    Le bourgmestre et toute l'administration d'une petite ville de la province russe sont en émoi, dans l'attente du « Revizor », inspecteur envoyé incognito par le gouvernement. Dans la panique que provoque cette arrivée, les fonctionnaires et autres officiels de la ville, qui ont bien des choses à se faire pardonner, débordent alors d'activité et prennent toutes sortes d'initiatives pour dissimuler leurs méfaits.Comment recevoir cet inspecteur au mieux ? Et d'ailleurs, comment l'identifier ? Deux habitants croient le reconnaître en la personne d'un jeune voyageur exigeant récemment arrivé à l'auberge. Au lieu de l'ardoise qu'il attend, celui-ci va être couvert d'honneurs et de flatteries. Même après avoir réalisé qu'il s'agit d'un quiproquo, le jeune homme se jouera de la méprise des fonctionnaires qui, abusés et terrorisés, se prêteront à toutes les bassesses pour complaire à celui qu'ils imaginent être le « revizor », allant jusqu'à croire habile de devancer ses attentes quand il n'en formule même pas.

  • by Eugene Viollet-Le-Duc & Ferdinand de Guilhermy
    £12.49

    «... Cette vaste église était alors dépourvue de chapelles, ou, s'il en existait, elles n'étaient qu'au nombre de trois, fort petites, et situées derrière l'abside; car on a retrouvé la corniche extérieure du double bas-côté sur presque tous les points de la circonférence de ce double bas-côté absidal : ces chapelles ne pouvaient donc être percées qu'au-dessous de cette corniche, et, par conséquent, n'occuper qu'une faible hauteur et un petit espace. On pourrait croire plutôt que trois autels étaient placés contre la paroi de ce double bas-côté ; l'un dédié à la Vierge, l'autre à saint Étienne, et le troisième à la Sainte-Trinité. Mais ce qu'on avait voulu surtout obtenir en traçant ce plan si simple, c'était un grand espace pour contenir le clergé et la foule, devant et autour de l'autel principal placé au centre du sanctuaire...».

  • by Jeanne Loiseau
    £13.99

    «... Des officiers s'asseyaient en riant, avec de grands bruits de sabre, ne résistant pas au désir de s'attarder dans ce ravissant décor, de regarder aller et venir les femmes, qui, toutes, portaient épanouie dans les yeux et sur les lèvres, une folle floraison printanière de coquets sourires et de provocants coups d'œil.C'était une griserie générale, si évidente et si universellement sentie, que tous ces gens avaient un air de joyeuse en-tente. Les regards se parlaient, à défaut des bouches. On mettait en action, ce matin-là, sur le Boulevard, le mystérieux roman que Baudelaire fait tenir tout entier dans ce vers plein de profonde passion inassouvie : Ô toi que j'eusse aimée ! Ô toi qui le savais ! ...».

  • by Georges Ohnet
    £13.99

    Girani se vante d'avoir séduit une jeune femme que Ploërné connaît, le tue en duel. Ploërné préfère épouser Lydie que celle qu'il pensait être la jeune femme. Or Lydie, follement amoureuse de Girani, décide de se venger et de ruiner son mari...

  • by Paul Bourget
    £13.49

    Roman d'analyse et d'éducation pour les générations nouvelles de l'époque, ce chef-d'œuvre de Paul Bourget est aussi un roman à thèse puisque l'écrivain y dénonce la responsabilité du maître à penser et accuse la science moderne de s'être substituée à la religion sans fournir de morale.

  • by Maurice Barres
    £11.49

    «... Après deux années, enfin, mon voyage prend forme dans mon souvenir, et la Grèce me parle utilement. Ce long recul fut nécessaire, pour que d'un tel discours, deux, trois conseils se dégageassent. Quand on a tenu des objets nombreux et nouveaux devant son regard, il faut laisser mourir les images qui ne peuvent pas vivre. L'élaboration fut pénible. Ce n'était pas moi qui résistais aux puissances d'Athènes, c'était Venise, Séville, Tolède qui se débattaient en moi. Elles voulaient subsister. Athènes, par sa perfection, humilie, efface l'univers. Ces belles villes, mes anciennes favorites, menacées de glisser au rôle de servantes, me disaient d'une voix pressante : - Tu penches à nous sacrifier. Que feras-tu de cette reine morte ? Elle ne peut qu'irriter en toi l'intelligence de ton irrémédiable subalternité...»

  • by Maurice Barres
    £9.99

    «... Heureuses ces nations où tous les mouvements sont liés, où les efforts des honnêtes gens s'accordent comme si un plan avait été combiné par un cerveau supérieur, où les choses essentielles ne sont pas remises à chaque instant en discussion, où les hommes de valeur, après qu'ils se sont agités de leur mieux dans la collectivité, n'ont pas cette tristesse de sentir qu'ils l'ont ébranlée ou qu'ils ont travaillé dans le vide, mais constatent, avant de mourir, qu'ils ont eu une action directe sur la marche de leur pays et que quelque chose d'eux-mêmes se prolongera dans la conscience nationale !...»

  • by Plaute
    £10.49

    Phédrome est amoureux de Planésie, une courtisane, mais il n'est pas assez riche pour l'acheter. Il envoie son esclave Charançon (qui est donc le servus calidus, l'esclave rusé et démiurge de la pièce) en Carie pour chercher de l'argent. Celui-ci revient en disant qu'il n'a pas obtenu l'argent nécessaire, mais en ayant cependant une idée : il a rencontré un soldat. Or ce soldat est justement à la recherche d'un banquier à qui il a confié son argent. Il voulait retirer cet argent pour acheter une courtisane dont il est amoureux et qui se nomme... Planésie. Charançon a compris qu'il y avait un coup à jouer. Il s'est donc invité à manger chez le soldat à qui il a proposé de jouer aux dés. Pendant la soirée, Charançon a rempli soigneusement le verre du soldat qui a fini par tomber de sommeil, alors Charaçon lui a subtilisé son anneau, qui porte le sceau du soldat. C'est ainsi que Charançon revient voir son maître Phédrome en lui proposant d'écrire une lettre demandant le remboursement de la somme d'argent, de la sceller avec la marque du sceau du soldat, puis d'aller la porter au banquier, un nommé Lycon. Charançon aborde donc le banquier en se présentant comme le serviteur du Soldat, le banquier, qui ne voit pas la supercherie l'accompagne chez le léno, le tenancier de Lupanar, c'est-à-dire l'entremetteur de la jeune fille. Après quelques réticences et quelques railleries de Charançon, le léno accepte de vendre la jeune fille, en acceptant de rendre la somme payée au cas où quelqu'un viendrait déclarer qu'elle est en réalité libre, et non esclave : évidemment, c'est Phédrome, et non le militaire qui achète ainsi la courtisane. Lorsqu'il vient réclamer son argent à son banquier, le militaire est justement bien étonné d'apprendre que la somme a déjà été rendue. Entre temps, Planésie, la courtisane, reconnait le sceau que porte Charançon : c'est celui de sa famille et en rencontrant le militaire, ils comprennent qu'ils sont frère et sœur, car elle a été enlevée étant encore enfant. Il la donne donc en mariage à Phédrome. La dernière scène montre le militaire en train de molester le léno pour récupérer son argent, puisque la jeune fille est désormais reconnue libre.

  • by Alexandre Dumas
    £10.49

    En mai 1637, la colombe Iris revient chez sa maîtresse, une religieuse du nom d'Isabelle de Lautrec, au bout d'une semaine d'absence. Quelle surprise pour Isabelle de retrouver, accrochée à la patte de sa colombe, une lettre d'un correspondant mystérieux. Piquée par la curiosité, elle veut en savoir plus et un échange régulier de lettres commence alors. Or il s'avère que ce religieux qui lui écrit n'est autre qu'Antoine de Bourbon, comte de Moret et fils d'Henri IV qu'elle croyait mort à la bataille de Castelnaudary! Pour elle et pour lui qui s'aimaient et devaient se marier, c'est une souffrance qui s'arrête quand ils comprennent pourquoi ils n'ont pu se retrouver après la blessure du comte...

  • by Octave Mirbeau
    £12.49

    Au cours d'une fin de semaine passée dans son château du Perche, le richissime parvenu Isidore Lechat, qui dispose d'un grand quotidien indispensable à ses affaires, en traite deux qui sont susceptibles de renforcer encore sa puissance financière et sa surface sociale : d'un côté, il reçoit, de deux ingénieurs électriciens, Gruggh et Phinck, qui ont besoin d'un financeur, des propositions d'exploitation d'une chute d'eau riche de potentialités de profits, et il parvient à leur imposer sa loi ; de l'autre, il envisage de marier sa fille Germaine au fils d'un noble décavé, le marquis de Porcellet, son voisin, qu'il tient à sa merci, mais ce projet se heurte à la résistance de la jeune femme. Révoltée, intellectuellement et sexuellement émancipée, Germaine juge son père, souffre de la misère engendrée par ses vols, et choisit la liberté : préférant la misère à un luxe homicide, elle part avec son amant, le chimiste Lucien Garraud, employé de son père, et elle se vante de l'avoir choisi, ce qui a profondément choqué les critiques de l'époque : à leurs yeux, elle n'était qu'une fille dénaturée !

  • by Friedrich Wilhelm Nietzsche
    £10.99

    Ecce Homo, malgré sa brièveté, est l'un des livres les plus importants pour comprendre la pensée nietzschéenne dans son originalité. Au cours de ces quelque cent pages, Nietzsche invente un nouveau type d'écriture, tonitruant et virtuose, qui lui permet de réaliser son programme de « philosophie à coups de marteau ». Nulle part - hormis peut-être dans Le Crépuscule des idoles -, Nietzsche n'est aussi clair, dense et brillant.

  • by Bonaventure De Bagnorea
    £10.49

    Cet un ouvrage mystique composé de sept chapitres qui correspondent aux sept jours de la création est à la fois un traité philosophique, théologique et mystique, et une méditation sur les chemins qu'emprunte l'élévation vers Dieu. Le prologue présente le projet ainsi : les six ailes du séraphin sont refermées sur lui-même : chaque méditation permet d'en lever une (les six premiers chapitres) ; la dernière méditation est le repos de l'extase mystique : « À l'exemple de notre père saint François, j'étais tout haletant à la recherche de cette paix, moi pauvre pécheur, indigne successeur du bienheureux père, depuis sa mort septième ministre général de ses frères. C'est alors qu'une inspiration, vers le trente-troisième anniversaire de son trépas, me conduisit à l'écart sur le mont Alverne, comme en un lieu de repos, avec le désir d'y trouver la paix de l'esprit. Là, tandis que je méditais sur les élévations de l'âme vers Dieu, je me remémorai, entre autres choses, le miracle arrivé en ce lieu à saint François lui-même : la vision du séraphin ailé en forme de croix. Or il me sembla aussitôt que cette apparition représentait l'extase du bienheureux père et indiquait l'itinéraire à suivre pour y parvenir. Stanislas Breton montre que cet ouvrage est une odologie (science du chemin) plutôt qu'une ontologie (science de l'être).

  • by John Ruskin
    £14.99

    La Bible d'Amiens devait être le premier volume d'une série que Ruskin voulait consacrer à l'histoire du christianisme en Europe, sous le titre : Our Fathers Have Told Us, mais son œuvre s'arrêta à ce premier volume.Proust a rédigé une longue préface à sa traduction, accompagnée de nombreuses notes en bas de page.Le livre commence par l'histoire de l'avènement du christianisme en France puis à la construction de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens au XIIIe siècle. Ruskin retrace l'histoire de Firmin d'Amiens, évangélisateur de la Picardie selon la tradition catholique...

  • by Suetone
    £15.49

    La Vie des douze Césars (en latin De vita duodecim Caesarum) est une œuvre de Suétone, auteur latin du Haut Empire. Il s'agit des biographies des premiers princes de Rome ayant porté le nom et le titre de César, de Jules César à Domitien. Caius Iulius Cæsar est en effet compris, car Auguste, premier véritable empereur de Rome, se place dans sa continuité, et ses successeurs dans sa filiation.Dans la Vie des douze Césars, Suétone nous dévoile également le fonctionnement de l'une des premières méthodes de cryptographie de l'Histoire, le Code de César, utilisé pour les correspondances secrètes de Jules César, qui, s'il n'exerça pas la fonction royale ou impériale, fut assassiné à cause de ses prétentions autocratiques, et est à l'origine du Principat, mis en place par son neveu Octave-Auguste.Suétone fut le modèle d'un genre littéraire historique, la série de biographies impériales, qui fut repris par ses continuateurs (Hérodien, Aurelius Victor, l'Histoire Auguste, etc.)

  • by Jules Cesar
    £12.49

    La guerre civile de César, appelée aussi guerre civile romaine de 49 av. J.-C. ou guerre civile entre César et Pompée, est un des derniers conflits intérieurs de la République romaine, et fait partie de la liste des nombreuses guerres civiles romaines. Elle a consisté en une série de heurts politiques et militaires entre Jules César, ses alliés politiques et ses légions d'une part, et la faction conservatrice du Sénat romain, appelée aussi optimates, épaulée par les légions de Pompée d'autre part.Nombre d'historiens s'accordent à dire que la guerre civile fut la conséquence logique d'un long processus de crise des institutions politiques de la République, qui commença par le désastreux échec des réformes tentées par Tiberius Sempronius Gracchus, et se poursuivit par la réforme de l'armée de Caius Marius, qui firent des légions des unités entièrement dévouées à leur général. Le processus s'accéléra avec la dictature de Lucius Cornelius Sylla et enfin le Premier triumvirat. Que cette analyse soit plus ou moins correcte, ces événements n'en ébranlèrent pas moins les fondements de la République, et il est clair que César tourna habilement en sa faveur l'opportunité offerte par la décadence des institutions.

  • by Plutarque
    £10.49

    " ... Périclès avait, pour le peuple, une extrême répugnance dans sa jeunesse. On lui trouvait une certaine ressemblance de visage avec le tyran Pisistrate : les plus anciens de la cité remarquaient en lui la même douceur de voix, la même facilité de parole et d'élocution ; et ils s'en effrayaient. Riche, issu d'une grande maison, et lié avec des personnages puissants dans l'État, Périclès craignait de se voir bannir par l'ostracisme : il ne se mêlait donc point de politique ; mais, dans les guerres, il recherchait les périls, et il n'épargnait point sa personne. Aristide était mort, Thémistocle exilé, Cimon presque toujours occupé à des expéditions lointaines, quand Périclès commença à toucher aux affaires. Il se dévoua au parti du peuple, préférant, à l'aristocratie faible en nombre, la multitude pauvre, mais nombreuse. Ce n'est pas qu'il fût naturellement populaire, tant s'en faut ; mais sans doute il voulait éviter le soupçon d'aspirer au pouvoir suprême ; et puis il voyait que Cimon, tout dévoué à l'aristocratie, était l'idole des classes élevées et de tous les hommes bien nés : il se jeta donc dans les bras du peuple, pour y trouver sa propre sûreté, et pour s'en faire un appui et un instrument contre Cimon.Dès ce moment, il embrassa une manière de vivre toute nouvelle. On ne le voyait plus passer dans les rues de la ville, que pour se rendre aux assemblées du peuple ou au sénat..."

  • by Gabriel Tarde
    £10.49

    “ L’apogée de la prospérité humaine, dans le sens superficiel et frivole du mot, semblait atteint. Depuis cinquante ans, l’établissement définitif de la grande fédération asiatico-américano-européenne et sa domination incontestée sur ce qui restait encore, çà et là, en Océanie ou dans l’Afrique Centrale, de barbarie inassimilable, avait habitué tous les peuples, convertis en province, aux délices d’une paix uni-verselle et désormais imperturbable. Il n’avait pas fallu moins de cent cinquante ans de guerres pour aboutir à ce dénouement merveilleux. Mais toutes ces horreurs étaient oubliées ; et tant de batailles effroyables entre des armées de trois et quatre millions d’hommes, entre des trains de wagons cuirassés, lancés à toute vapeur et faisant feu de toutes parts les uns contre les autres, entre des escadres sous-marines qui se foudroyaient électriquement, entre des flottes de ballons blindés, harponnés, crevés par des torpilles aériennes, précipités des nues avec des milliers de parachutes brusquement ouverts qui se mitraillaient encore en tombant ensemble ; de tout ce délire belliqueux, il ne restait plus qu’un poétique et confus souvenir. L’oubli est le commencement du bonheur, comme la crainte est le commencement de la sagesse... ” G. T.

  • by Gabriel Tarde
    £15.49

    “ Tout ce que je souhaite, sans oser l’espérer, en publiant ce livre, c’est que le lecteur trouve à le lire autant de plaisir que j’en ai eu à le composer. Ce n’est pas que je m’aveugle sur ses imperfections et ses lacunes ; j’en ai même conscience à tel point que je me propose de revenir plus tard sur cette ébauche pour la compléter et la corriger. Mais ce sujet m’a plu, d’abord superficiellement, puis avec une sorte d’intérêt passionné. En commençant, je n’y avais vu que la joie intellectuelle d’échapper à des problèmes habituels d’ordre social, c’est-à-dire douloureux, par une étude qui, d’ailleurs, se reliait intimement à mes travaux antérieurs, par une promenade d’esprit à travers le monde, avec une jumelle spéciale en mains qui me permettait de tout apercevoir sous un angle aussi précis que varié, sous un point de vue d’une universalité étrange. Et je confesse m’être laisse aller quelque temps à ce charme facile et décevant de collectionner des antithèses, d’herboriser des contrastes, de regarder passer, à tous les étages superposés de la réalité physique, vivante, mentale, la procession des couples enchaînés de contraires qui s’y déroule éternellement. Mais, à lui seul, ce genre d’attrait ne m’eût pas retenu longtemps : l’antithèse est un procédé de composition dont l’abus, chez un Hegel comme chez un Victor Hugo, m’a toujours gâté les plus merveilleuses beautés de conception ou de style. Et je n’aurais pas tardé à m’en dégoûter si, à mesure que j’avan¬çais, un autre genre d’intérêt, plus puissant, plus poignant, ne fût venu se joindre et peu à peu se substituer au charme premier, me ramenant par un léger détour à mes préoccupations d’ordre social que j’avais eu l’illusion de croire écarter...” G. T.

  • by Confucius
    £11.49

    Les Entretiens de Confucius, aussi connus sous le nom d’Analectes, est une compilation de discours de Confucius (551-479 av. J.-C.) et de ses disciples ainsi que de discussions entre eux.Écrits durant la période des Printemps et des Automnes jusqu’à la période des Royaumes combattants (de 479 av. J.-C. environ jusqu’en 221 ap. J.-C.), les Analectes sont l’œuvre représentative du Confucianisme et continuent à avoir une grande influence sur le mode de pensée et les valeurs des chinois et les peuples de l’Asie de l’Est.

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