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Ce roman écrit à la fin du 19ème siècle décrit la vie de Clothilde, jeune femme, née dans la misère ouvrière du Second Empire, mais inspirée par sa foi chrétienne. Son compagnon, un ivrogne, l’oblige à se prostituer pour subvenir à leurs besoins. Elle se retrouve sous la protection de Leopold, peintre et bienfaiteur. Ce dernier meurt dans des circonstances obscures. Clothilde toucha le fond de la misère et de la souffrance et meurt avec une auréole de sainteté...
Le père de Sylvia (M. Orgon) souhaite que sa fille épouse le fils d’un de ses vieux amis. Mais Silvia, peu disposée à se marier, obtient de son brave homme de père l’autorisation d’observer, sous le déguisement de sa servante (Lisette), le jeune homme à qui sa famille la destine (Dorante), ignorant que ce dernier a eu la même idée qu’elle. Aussi, l’aventure, divertissante au début, tourne-t-elle au cauchemar pour elle lorsqu’elle se rend compte qu’elle est attirée par le valet, qui lui fait une cour discrète, alors que le comportement de celui qui se présente comme son promis lui fait horreur, d’autant plus que M. Orgon, qui s’amuse de la situation, refuse d’interrompre le jeu.
“Mechanics for fun” is not a textbook. Instead it is a complementary book with some entertaining experiments and descriptions of some exciting natural phenomena. Its aim is to excite the reader interest in mechanics and have him engage in its study. The author has included a number of mechanics’ applications in engineering, sports, circus performances and many other unexpected areas.
Dans ce livre, Spinoza adopte une méthode de démonstration déductive, calquée sur le mode de la démonstration mathématique, dans laquelle des propositions, démonstrations, scolies et lemmes succèdent aux définitions, axiomes et postulats. Si ce procédé d’exposition en fonction d’un « ordre géométrique » a pour but de conférer aux raisonnements développés dans l’ouvrage la plus grande rigueur possible. Le livre aborde successivement les thématiques de Dieu, de l’âme, des passions (ou affects), du conatus, de la servitude de l’homme, et enfin de la possibilité et des moyens pour l’homme d’accéder à la liberté et la béatitude.
This book is not a usual arithmetic book. It does not present arithmetic concepts as tedious problems that are often fruitless for everyday life. Instead, using material that is accessible to the majority of the readers, it presents multiple tricks, puzzles and problems, and explains the notions behind them in an enjoyable and entertaining manner. It is recommended for both young students (as a complement to textbooks) and adults.
Napoléon a un jour chargé Marbot d'écrire « pour la défense de la gloire des armées françaises». Ce qui n'empêche pas Marbot d'être parfois très critique, notamment en ce qui concerne la vilénie que fut la guerre en Espagne. Ces mémoires lisent comme un roman de cap et d'épée, constituent sur les guerres napoléoniennes, et surtout sur la vie quotidienne d'un officier de cavalerie, un témoignage de toute première main...
Ce roman relate l'histoire fictive d'un hospodar moldovalaque, Mony Vibescu, dans un périple qui le mène de Bucarest à Paris, puis dans l'Europe entière et finalement à Port-Arthur (en Chine), où il meurt flagellé par un corps d'armée, accomplissant ainsi sa destinée pour avoir failli à son serment...
De 1880 à 1883 Octave Mirbeau a été l'esclave consentant de Judith Vimmer (Juliette Roux, dans le roman), femme de petite vertu et de petite intelligence, futile et infantile, qui lui a fait endurer les pires souffrances. Trois ans plus tard, il publiera Le Calvaire qui suscitera un énorme scandale.Écrit à la première personne, ce roman-confession est, sous le nom de Jean Mintié, le récit de ses propres turpitudes. C'est un acte d'expiation, mais aussi un acte de libération.Par ailleurs il dénonce avec virulence les atrocités de l'armée française, s'en prend à l'idée même de la Patrie, démystifie la famille, le plaisir, que, comme Baudelaire, il assimile à un fouet ; l'amour dans Le Calvaire n'est pas « l'amour frisé, pommadé, enrubanné », mais « l'Amour barbouillé de sang, ivre de fange, l'Amour aux fureurs onaniques, l'amour maudit, qui colle sur l'homme sa gueule en forme de ventouse, et lui dessèche les veines, lui pompe les moelles, lui décharne les os. »
Publié pour la première fois en 1905, ce recueil de textes rédigés entre 1884 et 1900, est d'une acuité rare. Bloy dénonce comme à son habitude la société bienséante et moutonienne qui crédite les belluaires et les porchers, Bloy se définit comme « un très humble et très ingénu vociférateur. » dont le dessein est de « dénoncer les improbes en littérature : ceux qui volent et ceux qui rampent. Car ces deux espèces menacent de tout dévorer. »
"... nous allons examiner sans préjugés la vie de Jésus-Christ Nous ne puiserons nos faits que dans les Évangiles mêmes, c'est-à-dire, dans des mémoires respectés et avoués par les Docteurs de la Religion Chrétienne. Nous emploierons les secours de la critique pour éclaircir ces mêmes faits. Nous exposerons de la façon la plus simple la conduite, les maximes & la politique d'un Législateur obscur, qui depuis sa mort s'est acquis une célébrité, à laquelle il n'y a pas lieu de présumer qu'il ait prétendu de son vivant. Nous considérerons dans son berceau une Religion, qui, destinée d'abord uniquement à la populace la plus vile de la nation la plus abjecte, la plus crédule, la plus stupide de la terre, est devenue peu à peu la maîtresse des Romains, le flambeau des nations, la Souveraine absolue des Monarques Européens, l'arbitre des destinées des peuples, la cause de l'amitié ou de la haine qu'ils se portent, le ciment qui sert à fortifier leurs alliances ou leurs discordes, le levain toujours prêt à mettre les esprits en fermentation..."
Le Drageoir aux épices (1874), œuvre de jeunesse composée de dix-huit poèmes en prose rend hommage aux peintres hollandais et flamands et à la poésie de Villon. On y trouve déjà l'écrivain influencé par Baudelaire et l'esthétique naturaliste avec laquelle il rompra dans À rebours. Les quatre pièces lues ici sont indépendantes, mais La Reine Margot et La Kermesse de Rubens sont à considérer comme un diptyque.Ce recueil inclut aussi Pages retrouvées et Un dilemme.
The ingenious and entertaining experiments described by Tom Tit in his "La science Amusante" have long delighted the young people of France. These experiments can now delight English speaking pupils and students with this updated translation. Many of the physics and mathematics experiments described here are simple pastimes meant for the recreation of young and old, assembled around the family table. Others, on the contrary, being of a really scientific character, are designed to introduce the reader to the study of Physics and mathematics. Regardless of their nature, all the experiments can be carried out without any special apparatus and are consequently without the least expense. Instruments used include kitchen utensils, corks, matches, glasses, and plates. The book is very useful for the young physicist who wishes to entertain his friends. It will show him not only how to do things by which he can render himself more entertaining than the best talker or the best joker in the company, but will reveal to him a hundred things by which he can amuse and astonish everybody he knows. The book is equally useful for the teacher who wishes to create in his students an interest in science. It will enable him to illustrate scientific principles, and render his instructions as interesting as an Arabian tale.
La République est un dialogue de Platon portant principalement sur la justice dans l'individu et dans la Cité. Platon fait la critique de la démocratie dans sa dégénérescence en démagogie et en tyrannie à cause de l'attrait qu'exerce le prestige du pouvoir. Il s'agit de l'ouvrage le plus connu et le plus célèbre de Platon en raison, entre autres, du modèle de vie communautaire exposé et de la théorie des Formes que Platon y expose et défend.
« Je me suis amusé à recueillir quelques petites anecdotes concernant ma famille. Vous pouvez vous rappeler que, quand vous étiez avec moi en Angleterre, je fis des recherches parmi ceux de mes parents qui vivaient encore, et j'entrepris même un voyage à ce sujet. J'aime à penser que vous aurez, ainsi que moi, du plaisir à connaître les circonstances de mon origine et de ma vie, circonstances qui, en grande partie, sont encore ignorées de vous. Je vais donc les écrire : ce sera l'agréable emploi d'une semaine de loisir non-interrompu, dont je me propose de jouir pendant ma retraite actuelle à la campagne...»
Publiée pour la première fois dans son intégralité en 1756, cette œuvre est le résultat d'une quinzaine d'années de recherche effectuées par Voltaire à Cirey, à Bruxelles, à Paris, à Lunéville, en Prusse, en Alsace et à Genève. En 1769, La Philosophie de l'histoire (1765) devient le « Discours préliminaire » de l'Essai. Voltaire révisera le texte jusqu'à sa mort en 1778. Dans cette œuvre, Voltaire aborde l'histoire de l'Europe avant Charlemagne jusqu'à l'aube du siècle de Louis XIV, en évoquant également celle des colonies et de l'Orient. L'Essai constitue l'une des pièces maîtresses de la philosophie des Lumières.
Loti est séduit par la beauté de la jeune Rarahu, et l'«idylle polynésienne» se poursuit dans les îles, décor enchanteur, mais aussi peuplé de fantômes. Loti fréquente la reine Pomaré, vieillissante et dont la descendance est rongée d'un mal héréditaire. Il cherche aussi à rencontrer Taïmaha, qui fut la maîtresse de son frère George, venu là treize ans plus tôt, et dont elle eut des enfants. La quête est décevante, Loti découvre que les deux garçons qu'on lui présente ne sont pas de George...
Cet essai philosophique fut commencé en 1753 et publié en 1755, en réponse à un sujet de l'Académie de Dijon intitulé : « Quelle est l'origine de l'inégalité des conditions parmi les hommes ? »Sa participation au concours est dans la continuité du Discours sur les sciences et les arts pour lequel il avait déjà été primé en 1750 par cette même académie, mais cette fois-ci, il fut autrement critiqué… Notamment par Voltaire dans une lettre datée du 30 août 1755 dans laquelle il écrit : « J'ai reçu, Monsieur, votre nouveau livre contre le genre humain […] On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes, il prend envie de marcher à quatre pattes quand on lit votre ouvrage. » C'était précisément ne pas comprendre l'entreprise de Rousseau, et le statut nouveau qu'une telle entreprise fait porter à la fiction théorique d'un « état de nature », dont la vocation est de permettre la critique sociale en séparant la question de l'origine (en fait) de l'inégalité de celle de son fondement ou plus précisément de son absence de fondement (en droit), tout en ouvrant l'espace d'une distinction explorée plus tard dans le Contrat social entre réalité du pouvoir et autorité légitime.Ce discours a valu à Rousseau une condamnation religieuse de l'Église catholique, qui lui reprochait de nier le péché originel et d'adhérer au pélagianisme.
La plupart des poèmes ce recueil ont été écrits entre 1841 et 1855, mais les poèmes les plus anciens datent de 1830. Les Contemplations est un recueil du souvenir, de l'amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée. Ce recueil est également un hommage à sa fille Léopoldine Hugo, morte noyée dans la Seine.
Les Origines de la France contemporaine est l'œuvre majeure d'Hippolyte Taine (1828-1893). Il l'entreprit au lendemain de la guerre de 1870 et la poursuivit jusqu'à sa mort. L'œuvre couvre quatre régimes politiques : Restauration, monarchie de Juillet, IIe République, second Empire ; un cinquième est en gestation - république ou monarchie - depuis la journée parisienne du 4 septembre 1870. Extrait : « Qu'est-ce que la France contemporaine ? Pour répondre à cette question, il faut savoir comment cette France s'est faite, ou, ce qui vaut mieux encore, assister en spectateur à sa formation. À la fin du siècle dernier, pareille à un insecte qui mue, elle subit une métamorphose. Son ancienne organisation se dissout ; elle en déchire elle-même les plus précieux tissus et tombe en des convulsions qui semblent mortelles. Puis, après des tiraillements multipliés et une léthargie pénible, elle se redresse… »
" C'est chimère d'attendre que l'Anarchie, idéal humain, puisse sortir de la République, forme gouvernementale. Les deux évolutions se font en sens inverse, et le changement ne peut s'accomplir que par une rupture brusque, c'est-à-dire par une révolution. C'est par décret que les républicains font le bonheur du peuple, par la police qu'ils ont la prétention de se maintenir ! Le pouvoir n'étant autre chose que l'emploi de la force, leur premier soin sera donc de se l'approprier, de consolider même toutes les institutions qui leur facilitent le gouvernement de la société. Peut-être auront-ils l'audace de les renouveler par la science afin de leur donner une énergie nouvelle. C'est ainsi que dans l'armée on emploie des engins nouveaux, poudres sans fumée, canons tournants, affûts à ressort, toutes inventions ne servant qu'à tuer plus rapidement. C'est ainsi que dans la police on a inventé l'anthropométrie, un moyen de changer la France entière en une grande prison. On commence par mensurer les criminels vrais ou prétendus, puis on mensure les suspects, et quelque jour tous auront à subir les photographies infamantes. « La police et la science se sont entrebaisées », aurait dit le Psalmiste. "
Ce manuel invite à reconnaître l'impossibilité pour l'homme de contrôler ce qui ne dépend pas de lui : l'avis des autres, la richesse, la chance, les malheurs, la mort. L'idée de l'ouvrage est la nécessité de n'attacher d'importance qu'à ce qui dépend de nous : opinions, désirs, pensées, et autres « opérations de l'âme ». Le philosophe doit se concentrer sur ce qui est sous son contrôle, c'est-à-dire son âme, seule partie libre de son être. Vouloir changer ce qui ne dépend pas de lui rend l'homme malheureux, tandis qu'accepter son impuissance sur ces choses et ne s'occuper que de la partie de lui-même qu'il peut contrôler l'amène à un bonheur immuable et infini.
Le Timée est un des derniers dialogues de Platon. Après un bref échange avec Socrate, Critias et Hermocrate, le philosophe pythagoricien Timée de Locres expose une réflexion sur l'origine et la nature du monde physique et de l'âme humaine vues comme les œuvres d'un démiurge tout en abordant les questions de la connaissance scientifique et de la place des mathématiques dans l'explication du monde.Écrit vers -360, le Timée se situe chronologiquement entre La République et le Critias avec lesquels il devait composer une trilogie qui comprenait l'Hermocrate, mais rien de ce dialogue n'a jamais été trouvé ; Friedrich Nietzsche suppose que Platon a incorporé ou retravaillé l'Hermocrate et l'a ajouté aux textes des Lois. Cette trilogie avait pour projet de décrire les origines de l'univers, de l'homme et de la société. Selon Luc Brisson, le Timée appartient à la dernière période de Platon.
The Coué method centered on a routine repetition of this particular expression according to a specified ritual-preferably as much as twenty times a day, and especially at the beginning and at the end of each day. When asked whether or not he thought of himself as healer, Coué often stated that "I have never cured anyone in my life. All I do is show people how they can cure themselves." Unlike a commonly held belief that a strong conscious will constitutes the best path to success, Coué maintained that curing some of our troubles requires a change in our unconscious thought, which can be achieved only by using our imagination. Although stressing that he was not primarily a healer but one who taught others to heal themselves, Coué claimed to have effected organic changes through autosuggestion.
Discours adressé par Sénèque vers 55 au jeune Néron qui a été son élève et débute son règne. Sénèque plaide en faveur d'un mode de gouvernement fondé sur la clémence et une maîtrise des passions en appuyant sa démonstration sur l'action des prédécesseurs de l'empereur.
Dans ce livre qui prone la libération sexuelle, Fourier analyse la société du 19ème siècle, critiquant sévèrement le mariage monogame et l'asservissement des femmes. Il élabore un autre modèle théorique et politique de société, l'Harmonie, fondée sur la disparition du mariage monogame, la multiplication systématique des relations amoureuses de toutes natures, et une égalité absolue entre les sexes.
Dans Lysistrata, Aristophane imagine pour les femmes un mot d'ordre efficace : « Pour arrêter la guerre, refusez-vous à vos maris. » Alors qu'Athènes et Sparte sont en guerre, Lysistrata, une belle Athénienne, aussi rusée qu'audacieuse, convainc les femmes d'Athènes - Cléonice, Myrrhinè, Lampito - ainsi que celles de toutes les cités grecques, de déclencher et de poursuivre une grève du sexe, jusqu'à ce que les hommes reviennent à la raison et cessent le combat.
" Au point de vue de la civilisation, bien peu de peuples ont dépassé les Arabes et l'on n'en citerait pas qui ait réalisé des progrès si grands dans un temps si court. Au point de vue religieux, ils ont fondé une des plus puissantes religions qui aient régné sur le monde, une de celles dont l'influence est la plus vivante encore. Au point de vue politique, ils ont créé un des plus gigantesques empires qu'ait connus l'histoire. Au point de vue intellectuel et moral ils ont civilisé l'Europe. Peu de races se sont élevées plus haut, mais peu de races sont descendues plus bas. Aucune ne présente d'exemple plus frappant de l'influence des facteurs qui président à la naissance des empires, à leur grandeur et à leur décadence."
" Les questions soulevées par la genèse des opinions étant du même ordre que celles relatives à la croyance doivent, être étudiées de la même façon. Souvent distinctes dans leurs effets, croyances et opinions appartiennent cependant à la même famille, alors que la connaissance fait partie d'un monde complètement différent.On voit la grandeur et la difficulté des problèmes abordés dans cet ouvrage. J'y ai rêvé bien des années sous des cieux divers. Tantôt en contemplant ces milliers de statues élevées depuis 80 siècles à la gloire de tous les dieux qui incarnèrent nos rêves. Tantôt perdu parmi les piliers gigantesques des temples aux architectures étranges, reflétés dans les eaux majestueuses du Nil ou édifiés sur les rives tourmentées du Gange. Comment admirer ces merveilles sans songer aux forces secrètes qui les firent surgir d'un néant d'où aucune pensée rationnelle n'aurait pu les faire éclore."
La philosophie de la violence de Georges Sorel réunit au plus haut point toutes les ambiguïtés des philosophies de la vie, du pragmatisme et des pensées socialistes révolutionnaires. La violence dont il fait l'éloge est celle de la grève générale syndicaliste dont la force de bouleversement sera telle qu'elle devrait mettre purement et simplement fin à l'existence de l'État. Mouvement d'insurrection de toute une classe, sans commune mesure avec les réponses répressives que peut lui apporter le pouvoir bourgeois, la violence ne peut que vaincre. Elle mène au pouvoir mais elle permet aussi au prolétariat de trouver son identité. Il doit en naître un monde politique inédit : car il ne s'agit pas de remplacer un groupe dominant par un autre, mais d'ouvrir une ère politique nouvelle purifiée par la violence.
L'action se déroule dans un château de la campagne française du Second Empire où Sophie habite avec ses parents M. et Mme de Réan. Curieuse et aventureuse, elle commet bêtise sur bêtise avec la complicité critique de Paul, son cousin, qui est bon et sa tante lui montre le chemin. Elle a pour amies Camille et Madeleine de Fleurville, des petites filles modèles qu'elle peine à imiter.
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