Join thousands of book lovers
Sign up to our newsletter and receive discounts and inspiration for your next reading experience.
By signing up, you agree to our Privacy Policy.You can, at any time, unsubscribe from our newsletters.
L’argument de cette cantate montre Narcisse insensible au charme des nymphes et amoureux de son seul reflet. Les nymphes finissent par le mettre à mort. C’est la punition des dieux pour cet amour-inceste dans lequel s’entête Narcisse.
Sur une île du Pacifique, deux naufragés sont rescapés par le James Cook qui fait voile vers l’Australie. Les deux frères Kip, d’origine hollandaise, constatent bientôt qu’une mutinerie se prépare et ils parviennent à la juguler non sans peine. Mais l’étau se resserre sur eux quand le chef des mutins accuse les deux frères du meurtre du capitaine. En dépit de leur innocence, ils sont incarcérés au pénitencier de Port-Arthur (en Tasmanie). Malgré les dures conditions de vie du bagne, ils entreprennent de planifier leur évasion afin de retrouver les assassins.
Au cœur de l’Afrique, dans une forêt impénétrable, celle de l’Oubanghi, deux explorateurs blancs accompagnés d’un indigène et d’un enfant noir découvrent une peuplade inconnue, qui vit dans les arbres. Ces deux héros, un Français et un Américain, nommés Max Huber et John Cort, les observent afin de savoir s’ils sont humains et tentent de rencontrer leur roi...
« Née le 22 avril 1766, rue de Cléry, à Paris, Anne Louise Germaine Necker avait huit ans lorsque Louis XVI fut couronné et vingt-six au moment où tomba la tête de Louis Capet. C’est dire qu’elle a déroulé ses années d’enfance et de jeunesse au crépuscule de l’Ancien Régime et au cœur de la Révolution. »
Ces mémoires, inachevées, ne seront publiées qu’en 1821, soit six ans après la mort de Germaine de Staël. Elles comprennent deux parties. La première, ébauchée en 1811, couvre la période 1800-1804. L’auteure y dénonce le despotisme naissant de Bonaparte et les persécutions dont elle fut la victime. La deuxième, rédigée à Stockholm vers la fin de 1812, relate l’extraordinaire évasion de l’auteure de Coppet le 23 mai 1812.
Ce 31 juillet 1918, Caille, un colporteur biblique, longe le lac et arrive au village...« et partout les Signes se levaient autour de lui » : La guerre...la grippe espagnole commence à toucher les jeunes, les vieux et même le docteur...deux, quatre, cinq morts...la grève des ouvriers de la verrerie...l’orage qui gronde...l’Apocalypse...la fin.C’était seulement un gros orage. En Champagne, les Alliés ont avancé de 7 kilomètres, fait 25000 prisonniers. Caille va reprendre la route, car le Seigneur a encore été miséricordieux...
Ceux qui sont de l’autre côté du col s’étaient emparés d’un beau morceau de pâturage. Pour se venger, Firmin, un berger romand, enlève Frieda, une jeune alémanique. Mathias le colporteur fait, en secret, la liaison entre la prisonnière et Hans son fiancé.Durant l’hiver, Frieda manipule aussi bien Firmin que Manu, l’idiot du village et à la fonte des neiges, les Alémaniques entrent dans le village incendié par Manu, pendent le berger et repartent avec Frieda.
Dans ce recueil, on retrouve des nouvelles qui font cohabiter la nature, les paysages changeants et éphémères avec la dure réalité de la vie et des corps. Par exemple, « Un vieux de campagne » retrace le vieillissement pénible d’un paysan qui ne peut plus participer aux travaux de sa ferme et qui doit compter sur les autres.
« Les deux gnomes que vous voyez là sont messieurs Plick et Plock. Les voilà qui, en furetant dans la maison, ont découvert une bouteille de champagne. Plick ne se sent plus de joie. Plock non plus, ainsi que l'expriment clairement leurs attitudes. Ce n'est pas qu'ils aient jamais bu de champagne, ils ne savent même pas ce que c'est ; mais ils devinent que cette bouteille pourrait bien leur fournir l'occasion de se distraire. Plock, esprit ingénieux, a découvert les ficelles qui retiennent le bouchon et le moyen de les faire disparaître. Seulement, c'est joliment fatigant de couper des ficelles et c'est bien le moins que, l'opération faite, on se repose un brin sur un siège moelleux. Oui, mais, on a beau être gnome et malin, on ne pense pas à tout, surtout si l'on ignore la force irrésistible d'expansion de l'acide carbonique emprisonné dans une bouteille ; et voilà comme quoi les farceurs sont souvent punis par où ils ont péché. »
«... Le sentiment que j’éprouvais alors me revient quand je considère côte à côte un homme et un singe ; qu’il y ait ou qu’il y ait eu une route de l’un à l’autre, j’en suis sûr. Mais maintenant, la distance entre les deux est tout à fait celle d’un abîme, et, pour mon compte, j’aime mieux reconnaître ce fait aussi bien que l’ignorance où je suis du sentier, plutôt que de me laisser choir dans une des crevasses creusées aux pieds de ces chercheurs impatients, qui ne veulent pas attendre la direction d’une science plus avancée que celle du temps présent...»
« Il reçut le nom de Franz. Il était si chétif qu’on ne le crut pas viable, et il fallut pendant ses pre-mières années le disputer sans repos à la mort. La fièvre et une maladie nerveuse alternaient dans ce corps débile, provoquant des syncopes. Une fois, rentrant de tournée, le père trouva sa femme abîmée de douleur devant le lit de l’enfant mort. Le charpentier du village prit ses mesures et prépara le cercueil. Mais le petit Franz revint à la vie en dépit du médecin. Ces troubles durèrent jusqu’à la sixième année, puis sa santé s’affermit...»
«Une aventure du chevalier de Grammont » est une comédie en trois actes et en vers par Mme Sophie Gay. Elle fut représentée sur le théâtre-Français le 5 mars 1822.
«... J’étais sidérée. Comment Léo pouvait-il se permettre de compromettre une jeune fille ? Je pensais que jamais mes parents ne l’autoriseraient à conclure ce mariage. On comptait sur lui pour donner plus de relief à notre descendance. Maman échafaudait une masse de rêves, et toutes les jeunes filles lui paraissaient à peine dignes de son fils, et j’entends parmi les meilleures...»
« La Tour de Percemont » est le dernier roman achevé de George Sand. Son histoire est datée de 1873 et située en Auvergne. Il consacre le républicanisme modéré après la Commune de Paris...
L’océanographe Maracot embarque sur le Stratford pour tenter de descendre dans une cloche d’acier à de grandes profondeurs afin d’étudier la faune et la flore des abysses. La cloche s’enfonce sous l’eau et commence sa descente mais à 300 mètres de profondeur, le filin se rompt…
« Chaque siècle a ses vices, ses travers, ses ridicules favoris. Prétendre les corriger par la critique, est l’ambition la plus sotte, le temps seul en triomphe, ou pour mieux dire, c’est l’inconstance humaine qui en fait adopter de nouveaux ou ressusciter d’anciens, quand elle a suffisamment subi le règne de ceux que la mode lui avait imposés. Ce n’est donc pas pour en faire la satire, que nous rappelons ici l’influence que l’amour de l’argent, le besoin de spéculer, le plaisir de duper, exerce sur notre époque. C’est uniquement pour raconter un fait qui est la conséquence d’un de ces travers du jour, enfin de ce goût pour la fraude qui après avoir passé par le charlatan, le marchand, le négociant, le spéculateur et la coquette, arrive aux classes les plus élevées de la société...»
«... Les plantes grimpantes peuvent être divisées en quatre classes : premièrement, celles qui s’enroulent en hélice autour d’un support sans qu’aucun autre mouvement n’intervienne. Secondement, celles douées d’organes sensibles qui, en touchant un objet, s’y cramponnent ; ces organes consistent en feuilles, branches ou pédoncules floraux modifiés. Mais ces deux classes arrivent parfois à se confondre insensiblement jusqu’à un certain point l’une avec l’autre. Les plantes de la troisième classe grimpent simplement à l’aide de crochets et celles de la quatrième par des radicelles : mais comme, dans ces deux dernières classes, les plantes ne présentent pas de mouvements spéciaux, elles offrent peu d’intérêt, et, en général, quand je parle des plantes grimpantes, je fais allusion aux deux premières classes...»
« Le 1er novembre 1883, M. R…, tailleur de M. Guy de Maupassant, me présente à ce dernier comme valet de chambre-cuisinier. Nous entrons dans le salon, où je me trouve en présence de deux messieurs qui se chauffaient debout, le dos au feu...»
«... La jalousie mordit Ahès de sa dent aiguë. Elle avait assisté aux préparatifs du mariage avec une complète indifférence... L’indifférence, à présent, faisait place à un brûlant ressentiment. Elle n’en raisonnait pas la cause, elle s’y abandonnait avec toute la fougue de sa nature entière et indisciplinée...»
«... Je crois que presque toutes les femmes — je ne dis pas toutes, vous voyez — sont incapables de résister à l’attrait du luxe, de la vie élégante, d’une haute position. Entre l’amour sans fortune et la fortune sans amour, elles choisiront la seconde alternative...»
«... La pluie très fine frappait les vitres du wagon, le paysage tout entier était noyé dans une brume épaisse... et Hermine, pelotonnée dans son coin, grelottait malgré le chaud manteau dont la Mère Supérieure l’avait munie pour ce voyage nocturne.La fraîcheur humide de cette aube grise n’était pas seule responsable du tremblement qui agitait la jeune fille. Pour une âme de dix-huit ans, impressionnable et délicate, l’inconnu semble toujours terrifiant... Et Hermine s’en allait vers l’inconnu...»
Sur une plage bretonne, un jeune garçon est retrouvé inanimé, et sans documents d’identité. Adopté par la famille du commandant Orguin qui lui donnera le nom de Gonzague. Après de nombreuses années et la mort des Orguins, doivent gagner sa vie tout seul…
Sign up to our newsletter and receive discounts and inspiration for your next reading experience.
By signing up, you agree to our Privacy Policy.