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Gemma et Mahault sont deux jeunes filles bien élevées issues d’une famille respectable mais peu fortunée. Au décès de la vieille tante qui avait leur charge, elles entrent comme professeurs de jeunes enfants dans un château situé aux environs de Nice. Mais un terrible secret menace leur vie… Ce roman énigmatique à rebondissements vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière page…
«... Je n’aimerai jamais parce que l’amour est essentiellement une source de désillusions et de soucis parfois cruels. Je n’aurai pas de famille parce que la famille procure des chagrins sans nombre pour une petite source de joies. Je resterai indifférent aux épreuves d’autrui, à toutes les misères de ce monde, parce qu’en cherchant à les soulager je recueillerais surtout des déceptions. De la vie, je ne veux que les fleurs...»
Ce roman nous raconte l’histoire dramatique d’une famille étrange. Cette dernière est le sujet d’une malédiction où ses membres commettent les uns après les autres des crimes. Le dernier en date est l’assassinat d’Allys par sa sœur jumelle Franceline afin de prendre sa place auprès de son mari…
Madel est orpheline de mère et vit avec ses cousins loin de son père et sa nouvelle femme. Mais lorsque son père l’appelle pour le rejoindre, le se retrouve dépaysée dans une famille qu’elle trouve étrangère. Quand le docteur Vital Nisse lui témoigne ses sentiments, elle est à la fois heureuse et terrifiée…
Magdalena, jeune orpheline, se voit spoliée de son héritage, et vit pauvrement dans la famille de sa cousine. Cette dernière, véritable mégère, est secondée par son fils. Une fois jeune adulte, Magdalena est amoureuse de Karol Wienkiewicz, un richissime artiste d’origine polonaise…
Le comte Vlavesky, beau et séduisant, fait chavirer le cœur des femmes par un simple regard, Mais aucune ne l’intéresse vraiment. De l’autre côté, la comtesse Etschef, allemande et comtesse de Halweg, n’a d’yeux que pour lui. Lui qui est étranger et officier de l’armée impériale…
«... Comme je rentrais, fort troublée, je songeai, en passant près de la voiture de M. Pontet, que celui-ci avait dû être appelé par sa sœur pour prêter main-forte à Saturnin dans ce transport. Car autrement, si les choses s’étaient passées comme elle le prétendait, qu’avait-elle besoin de sa présence ? Elle n’avait du reste pas fait allusion à cet appel, comme si cette visite était fortuite ainsi qu’à l’ordinaire.Je me gardai de dire mot à Sylvine de mes soupçons. Mais l’atmosphère de cette demeure devenait pour moi de plus en plus lourde. J’aspirais à confier à mes amis Paviers ce que je venais de découvrir. Il y aurait là, certainement, de quoi servir la cause de Thècle et de Sylvine...»
«... À peine avais-je fait quelques pas qu’une voix dit derrière moi :– Vous perdez votre livre, mademoiselle.Je me détournai. L’étranger tenait à la main le volume que je portais sous mon bras et qui venait de glisser à terre sans que je m’en aperçusse.– Oh ! merci, monsieur !Je pris le livre, en rougissant très fort. Ce n’est pas que je sois timide, cependant. Faut-il penser que la souriante douceur de ces yeux magnifiques un instant attachés sur moi a été la cause de cette émotion intempestive ?L’étranger souleva son chapeau, s’inclina légèrement, et s’éloigna, tandis que je reprenais ma route.Pourquoi cet insignifiant incident m’est-il revenu à l’esprit ? Pourquoi l’ai-je noté sur ce cahier ? Eu vérité, j’ai autre chose à faire que de m’attarder à cela...»
«... Lentement, comme une lourde brume se dissipant peu à peu, l’engourdissement qui avait jusque-là envahi le cerveau de Mirka disparaissait. Ses yeux, grands ouverts et vagues encore, se posaient avec stupeur sur les objets qui l’entouraient.Elle se trouvait dans une sorte de grotte assez vaste, au sol couvert de sable rougeâtre. Une table grossière, deux chaises faites de rondins de bois, un grand coffre à ferrures d’acier bruni délicatement travaillées en formaient tout le mobilier, avec le lit sommaire sur lequel était étendue la jeune fille.Dans un coin, une vieille femme, vêtue d’un costume bariolé, était accroupie et tressait des brins d’osier. Son visage au teint noirâtre était semé d’innombrables rides, et sa tête aux cheveux grisonnants branlait constamment, tandis qu’elle marmottait dans une langue étrangère...»
Ce roman raconte l’histoire d’une jeune fille qui vit sous l’autorité de sa grand’mère despotique. Elle se heurte encore plus violemment à l’aïeule qui veut lui faire épouser un homme, contre son gré, alors qu’elle aime un jeune avocat plein d’avenir, qui veut l’épouser…
«... Elle en parlait avec un plaisir évident, montrant un esprit cultivé, un goût déjà très sûr. Régis voyait maintenant de près ses yeux si beaux, d’un brun clair teinté de vert, où s’exprimaient la pureté, la simplicité de cette âme de jeune fille. Une naturelle réserve semblait exister chez elle. Mais bien que sa bouche charmante ne se refusât pas au sourire, celui-ci conservât quelque chose d’un peu forcé, comme le reflet d’une persistante souffrance...»
Reinette est orpheline. Elle a été recueillie par M. Douvre, qui laisse à son épouse le soin de son éducation. Mme Douvre, craignant que cette jeune fille sans fortune ne plaise à l’un de ses fils, propose de la marier Valéry Logaart, un savant autoritaire et bien plus âgé qu’elle…
Manon est une jeune fille d’une indéniable beauté, mais elle est accablée par les malheurs. Elle fut trouvée sur la route et ne connait pas son identité réelle. Son protecteur est mort, et elle ne plus de ressources pour subvenir à ses besoins. C’est ainsi qu’elle décide d’aller travailler à Paris…
«... L’amour dont l’entourait Maun-Sing ne pouvait lui voiler complètement ce que cette nature avait pour elle d’inconnu, de mystérieux. Elle le pressentait inflexible, peut-être cruel, et elle le savait orgueilleusement autocrate... Il était le souverain, craint, adulé plutôt, car c’était vraiment un culte idolâtrique que lui rendait tout son entourage...»
Ce livre aborde les souvenirs d’enfance de Charles Ferdinand Ramuz pour décrire sa participation à la saison des vendanges à Yvorne, dans le Chablais vaudois, vers 1890...
Dans ce texte, Jean nous raconte son enfance bienheureuse dans la maison de ses grands-parents, au bord du lac Léman, en Suisse, en compagnie de son frère Edmond. C’est un livre intimiste, qui laisse une large part aux paysages, au lac qui voit disparaître peu à peu ses pêcheurs, et aux personnages pittoresques qui entourent l’enfant.
« La Pêche Miraculeuse » est un roman de formation et une vaste fresque de la société romande des années 1900-1920, vue à travers les aventures d’un jeune aristocrate genevois, Paul de Villars, alter ego de l’auteur.
« Le lendemain de la bataille de Bautzen, le samedi 22 mai de 1813, naquit le petit Richard Wagner dans la ville de Leipzig. C’était un incident infime. Il ne préoccupait même pas beaucoup les habitants du second étage de la maison du Lion blanc et rouge, sur le Brühl, où ce poupon venait d’entrer dans le monde au grondement du canon. Les Alliés occupaient la Saxe depuis quelques semaines et Leipzig, comme Dresde, était remplie de soldats prussiens et russes. Devenus, par les hasards de la guerre, vassaux de Napoléon, les bourgeois saxons demeuraient sur une prudente réserve envers leurs cousins slaves et leurs frères germains accourus, disait-on, pour la délivrance commune...»
Pierre Fontramie part avec un groupe d’explorateurs au Tibet. Mais, arrivés sur place, ils vont découvrir l’inattendu alors que des difficultés imprévues mettront en péril leur liberté et leur survie…
L’enchantement y est constant, en compagnie de personnages aussi divers qu’un brin de muguet, trois pauvres pèlerins, une marquise oubliée ou un remonteur d’horloges... Guy de Pourtalès nous fait, dans ce recueil, la démonstration de son talent. Il est non seulement un romancier, mais aussi un vrai poète et conteur.
Après avoir étudié le christianisme et l’hindouisme, Gualtero découvre la philosophie stoïcienne. Dès lors, il va construire sa propre aventure de Lisbonne à Londres, puis à Paris… Mais le monde s’avère bien décevant pour un stoïcien…
En rencontrant les proches de Nietzsche, sa sœur entre autres, avec laquelle il a entretenu une correspondance pendant une année, Guy de Pourtalès nous restitue l’intérêt de ce critique de la société moderne et de la morale chrétienne.
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