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  • by James Fenimore Cooper
    £18.99

    « La côte d’Angleterre, quoique plus belle que la nôtre, est plus remarquable par sa riante verdure et par un air général de civilisation que par ses beautés naturelles. Ses rochers de craie peuvent paraître nobles et hardis aux Américains, quoique, comparés aux masses de granit qui bordent la Méditerranée, ils ne soient que des taupinières ; et l’œil du voyageur expérimenté cherche d’autres beautés dans les vallées écartées, les haies verdoyantes et les groupes de villages qui ornent la côte de cette île féconde. Portsmouth même, si on le considère uniquement sous le rapport du pittoresque, n’est pas un échantillon favorable des ports britanniques. Une ville située sur une humble pointe, et fortifiée à la manière des Pays-Bas, avec un excellent port, présente plus d’images de ce qui est utile que de ce qui est agréable, tandis qu’un arrière-plan de montagnes modestes n’offre guère que les coteaux verdoyants de la campagne. À cet égard, l’Angleterre même à la fraîche beauté de la jeunesse plutôt que les couleurs harmonieuses d’une époque plus avancée de la vie ; ou, il serait mieux de dire qu’elle a cette fraîcheur et cette douceur modeste qui distinguent ses femmes, surtout lorsqu’on les compare aux teintes plus chaudes de l’Espagne et de l’Italie, et qui, dans les personnes comme dans les paysages, ont besoin d’être vues de près pour être appréciées...»

  • by Charles Richet
    £11.49

    “... Avant d’entrer dans le détail des chiffres lamentables qui mettent en pleine lumière la diminution extrême des naissances françaises, il faut prouver que la puissance et la richesse d’un peuple sont proportionnelles au chiffre de sa population.Certains économistes ont soutenu le contraire ; mais les raisons qu’ils donnent paraissent insuffisantes. Nous allons d’abord les exposer loyalement, en donnant à l’argumentation toute sa force.Une nation, dit-on, vaut par la qualité des individus, par la richesse de son sol, par le grand développement de la fortune publique et de la fortune privée, et non par le grand nombre des individus qui la composent...”

  • by C Duval
    £11.49

    «...Quelques instants après, l’huis tourna sur ses gonds. Les deux voyageurs pénétrèrent dans une assez vaste salle éclairée par des lampes fumeuses et embrumée par la fumée du tabac. C’était la salle publique d’une taverne borgne. Tandis que le tenancier sommeillait derrière son comptoir, cinq hommes aux mines farouches s’entretenaient à voix basse autour d’une table chargée de verres...»

  • by Charles Deulin
    £13.99

    “... Le crâne chauve et luisant, les yeux petits et enfoncés sous l’orbite, le nez plat, la bouche démesurément grande et garnie de quelques dents jaunes, les joues creuses, la peau desséchée, on eût dit un squelette échappé du cimetière. L’étranger paraissait encore plus vieux que le Juif errant, et, à chacun de ses mouvements, ses membres rendaient un bruit sec et semblable au claquement des chandelles de bois que le vent ballotte à la montre des épiciers...”

  • by Vladimir Korolenko
    £9.99

    Makar (signifie dans la tradition russe « celui sur qui tombent toutes les tuiles ») est paysan misérable, accroché à un coin de terre péniblement défriché, passant le peu d’argent qu’il gagne dans de l’eau-de-vie. Nous sommes la veille de Noël, et il est ivre mort. Et voilà qu’il s’est mis en tête qu’un renard était pris dans l’un de ses pièges. Avec sa peau, on pourrait acheter une bouteille de plus… Mais il s’égare dans la forêt. Épuisé, abruti par l’alcool, il s’endort dans la neige. On ne se réveille pas de ce genre de sieste.Et voilà que même mort on n’a jamais la paix. Voilà que le petit pope du village, mort il y a bien longtemps, est venu le chercher. Viens, suis-moi, on va te juger…

  • by Vladimir Korolenko
    £12.49

    Ce roman nous plonge dans la campagne de la Petite-Russie au début du siècle dernier. Pierre vient au monde aveugle ; il est chéri et protégé par sa famille et il va apprendre les choses de la vie qui lui sont inaccessibles, comme les couleurs par exemple, grâce à la musique. L’analogie entre les sons et les couleurs revient souvent dans son discours et les pages sur la sensibilité du jeune aveugle à la musique abondent…

  • by Sofia Kovalevskaia
    £12.49

    Dans ce roman, le nihilisme se réfère à la contestation, et déclare la guerre à tout ce qu’on peut appeler « les mensonges conventionnels de la société civilisée ». Ce roman permet de pénétrer dans l’intimité d’une famille de province, aristocrate russe où les idées révolutionnaires vont trouver un écho chez la plus jeune des trois filles, Véra, mystique qui va par la suite, affûter sa formation avec l’arrivée d’un voisin plus âgé, un intellectuel qui lui ouvre l’esprit et partage son adhésion aux idées égalitaires…

  • by Alexei Pissemski
    £12.99

    Le héros de ce court récit est le teneur de livres du Comité de l’Assistance Publique de P...,Iosaf Iosafitch Férapontoff. Enfant maltraité par un père ivrogne, abruti par une école stupide puis une jeunesse où toute espérance est étouffée par la pauvreté, arrivé au lycée, Iosaf est perdu dans l’abîme entre ce qu’il a vécu et ce qu’il y apprend...

  • by Alexei Pissemski
    £20.49

    Ce roman une charge contre les abus qui affectent l’administration russe. Kalinovitch jeune homme pauvre et orphelin arrive dans une petite ville de province afin d’y prendre la place de principal de collège. Mais Kalinovitch ne peut se contenter d’une vie aussi médiocre. Intelligent, il veut s’élever dans la société...

  • by Fyodor Rechetnikov
    £12.99

    Ce roman raconte les aventures de deux crève-la-faim qui vont tenter d’échapper à la mort qui les guette depuis leur naissance dans un hameau sibérien moche, sale et pauvre. Les péripéties ne vont pas manquer, tantôt tragiques, tantôt drôles, le passage par la case prison les déroute mais ne les décourage pas...

  • by George Sand
    £12.99

    Du mois de septembre 1870 au mois de février 1871 alors que Paris a capitulé, George Sand tient le journal, à la fois de sa vie personnelle et des réflexions que lui inspirent les évènements. L’été a été caniculaire et continue à l’être au grand désespoir des paysans. le 19 juillet Napoléon III a déclaré la guerre à la Prusse...

  • by Delphine De Girardin
    £14.99

    « Pas un obstacle insurmontable ne nous sépare… ni les déserts, ni la mer, ni même la volonté de quelqu’un… car l’homme à qui je suis liée ne souffrirait pas de notre amour ; il l’ignore, il ne peut le comprendre… Il n’y aurait pour lui, dans ma trahison, ni larmes, ni fureur, ni souffrance d’orgueil ou d’amour… Je puis t’aimer sans craindre un reproche ; je puis courir vers toi sans qu’une main m’arrête… et cependant je n’y vais pas… J’ai cette force. Tu m’attends, tu m’appelles, et je reste là… Oh ! c’est mal…»

  • by Juliette Lamber
    £12.99

    «... Les théories de M. Proudhon sur l’amour sont trop arriérées, trop en dehors du sentiment général, pour qu’elles aient sur nos contemporains quelque puissance de prosélytisme. Ses doctrines sur la femme sont tout autrement dangereuses ; elles expriment le sentiment général des hommes qui, à quelque parti qu’ils appartiennent, progressistes ou réactionnaires, monarchistes ou républicains, chrétiens ou païens, athées ou déistes, seraient enchantés qu’on trouvât le moyen de concilier à la fois leur égoïsme et leur conscience en un système qui leur permît de contester les bénéfices de l’exploitation appuyée sur la force, sans avoir à craindre les protestations fondées sur le droit...»

  • by Juliette Lamber
    £11.49

    «... La mariée étant prête et l’heure venue, chacun prit sa chacune et on se mit en marche pour la mairie. Les trois noces se rencontrèrent dans les chemins et on vit une assez belle moitié du cortège ; mais c’est au sortir de l’église que je vous en parlerai plus longuement.Nous voilà donc à la mairie. Si vous voulez faire connaissance avec notre maire, vous ne pouvez trouver une meilleure occasion. Allez, c’est un homme indifférent à un chacun, qui ne s’inquiète de rien au dehors et se tourmente de tout chez lui. Notre mairesse ne se plaint à âme qui vive, mais j’opine qu’elle est moins heureuse que de droit...»

  • by Juliette Lamber
    £12.99

    «... Malgré ce qu’il recèle d’ironie, j’accepte l’échange avec gratitude, comme tout ce qui me vient de vous, cruelle. Si je mets des larmes dans les yeux de l’amant de Laure, c’est que je n’y puis mettre une espérance. J’attends le coucher de soleil. M’autorisez-vous à le traduire en tableau, à le peindre, et à vous l’offrir, s’il est digne de la description ?...»

  • by Andre Suares
    £13.99

    “... Je ferai donc le portrait de Jan-Félix Caërdal, le Condottière, dont c’est ici le voyage. Je dirai quel était ce chevalier errant, que je vis partir de Bretagne pour conquérir l’Italie. Car désormais, dans un monde en proie à la cohue et à la plèbe, la plus haute conquête est l’œuvre d’art.Caërdal a trente-trois ans. Les années d’océan et de brume donnent de l’espace à l’âme. C’est un homme qui a toujours été en passion. Et c’est par là qu’on l’a si peu compris...”

  • by Andre Suares
    £9.99

    “ Il est né en automne. Il est mort en hiver. Il a vu le jour dans une chambre triste, au fond d’un hôpital où son père était médecin. Un soir de brouillard glacial il a rendu l’âme dans la saison noire. Il a beaucoup respiré la nuit polaire. De l’aube triste aux pleines té-nèbres, il a toujours eu commerce avec l’ombre, et l’odeur des pauvres a toujours flotté autour de lui. L’hôpital de sa naissance était l’hospice des mendiants...”

  • by Vladimir Dahl
    £9.99

    «... Mais où est donc Podgornoff, ce Cosaque de Gourieff, à tête chauve, qui est toujours de service, tour à tour occupé sur le cordon, auprès des sultanes, auprès du chan, tantôt dans les régiments, tantôt sur mer près des cen-teniers ? Il est au premier rang des serviteurs zélés, mais il ne veut pas d’honneur : le grade d’ouriadnik lui fait peur ; car Podgornoff est pauvre et a une nombreuse famille...»

  • by Andre Laurie
    £13.99

    Quelques privilégiés sont invités à assister aux opérations médicales de trois «sujets». Ils sont accueillis par le Dr Cordat et son collaborateur, le mystérieux baron Tasimoura, vêtus de blouses et casqués. Les opérations sont réalisées en un clin d’œil malgré la gravité des affections… L’humain peut-il obliger «l’autre, le non humain» à se plier à ses codes moraux? Jusqu’où la poursuite de la science trouve-t-elle ses limites?...

  • by Charles Malato
    £12.99

    “ Tout indique qu’il en sera de même de l’anarchie: pressentie par Proudhon, affirmée par Bakounine, entrevue plus distinctement depuis peu d’années et professée actuellement par un petit nombre d’adeptes, elle aura sa part dans la révolution sociale imminente sans toutefois triompher. Mais, une fois le socialisme vainqueur, les efforts, les études se porteront vers cette nouvelle venue et, elle aussi, aura son tour.Et plus tôt qu’on ne le croit : la durée des évolutions humaines est singulièrement abrégée. Il a fallu toute la nuit des temps pour que l’esclavage antique se transformât en simple servage, une suite de siècles pour que le servage aboutît au libéralisme constitutionnel, un seul siècle pour mener à l’éclosion du socialisme. On peut hardiment présumer que quelques générations suffiront pour arriver à un état où la hiérarchie gouvernementale sera remplacée par la libre association des individus et des groupements ; la loi, imposée à tous et de durée illimitée, par le contrat volontaire ; l’hégémonie de la fortune et du rang par l’universalisation du bien-être et l’équivalence des fonctions, enfin la morale actuelle, toute d’hypocrite férocité par une morale supérieure découlant tout naturellement du nouvel ordre de choses.Cela est l’anarchie : nous énonçons la chose avant le mot pour ceux que les mots épouvantent...”

  • by Richard Cantillon
    £12.99

    « La Terre est la source ou la matière d’où l’on tire la Richesse ; le travail de l’Homme est la forme qui la produit : et la Richesse en elle-même, n’est autre chose que la nourriture, les commodités et les agréments de la vie.La Terre produit de l’herbe, des racines, des grains, du lin, du coton, du chanvre, des arbrisseaux et bois de plusieurs espèces, avec des fruits, des écorces et feuillages de diverses sortes, comme celles des Meuriers pour les Vers à soie ; elle produit des Mines et Minéraux. Le travail de l’Homme donne la forme de richesse à tout cela.Les Rivières et les Mers fournissent des Poissons, pour la nourriture de l’Homme, et plusieurs autres choses pour l’agrément. Mais ces Mers et ces Rivières appartiennent aux Terres adjacentes, ou sont communes ; et le travail de l’Homme en tire le Poisson, et autres avantages...»

  • by Henri Stein
    £11.49

    « Il est un sentiment bien humain, qui veut qu’en parcourant les salles d’un musée, en visitant une collection d’art, instinctivement on s’arrête avec complaisance devant les œuvres dont les auteurs sont connus ; et plus le nom de l’artiste vous est familier, plus votre admiration grandit. Peu de personnes, en dehors des professionnels, échappent à cette loi dont la force attractive domine le raisonnement. Le public est attiré par un Rembrandt ou un Carpeaux, non parce que les sujets représentés parlent à son âme ou frappent sa mémoire, mais bien parce que le cartouche délicatement posé à son intention par l’administration signale à son attention un Rembrandt ou un Carpeaux. Par un phénomène réflexe, les œuvres d’inconnus n’ont pas le don de piquer la curiosité ; et certains conservateurs de musées le savent si bien qu’ils s’ingénient depuis longtemps à des attributions fantaisistes en face desquelles la méfiance est le commencement de la sagesse...»

  • by Renee Gouraud
    £15.49

    «... Jane se laissait fort bien gâter par son mari. Il avait loué pour elle un joli appartement boulevard de la Villette, à proximité des abattoirs où son commerce l’appelait chaque jour. Il parait sa femme à plaisir, achetant sans jamais le trouver trop cher, le bibelot de prix que les yeux de Jane avaient caressé avec une pensée d’envie.Leur vie était bonne, leur dimanche bien rempli. Après la messe, ils allaient visiter la grande capitale qu’ils ignoraient, ils dînaient hors de chez eux, souvent aux environs, et ils rentraient las, mais ravis de leur journée...»

  • by Auguste Gérard
    £16.49

    « Le dernier quart de siècle (1894-1918) a vu s’accomplir dans l’Asie orientale une évolution aussi rapide que profonde, et dont les résultats achèvent d’être mis par la présente guerre en une saisissante lumière. Les deux grands empires d’Asie, la Chine et le Japon, sortant de leur séculaire réclusion, ont, au lendemain du conflit qui leur avait fait prendre en 1894 les armes l’un contre l’autre, non seulement admis la pensée d’un rapprochement avec l’Europe, mais contracté alliance avec deux grandes puissances d’Occident, la Chine avec la Russie (1896), le Japon avec l’Angleterre (1902). C’était la période durant laquelle la France et la Russie, si elles étaient elles-mêmes alliées, ne s’étaient pas encore entendues avec la Grande-Bretagne...» 

  • by Francois-Auguste Biard
    £14.99

    « Mon cher ami, dites-moi donc, je vous prie, d’où vous vient cette idée d’aller au Brésil ? C’est un pays très-mal sain. La fièvre jaune y est en permanence ; et on assure qu’il y à la des serpents très-venimeux qui font mourir les gens en quelques minutes...»

  • by Jean Grave
    £16.49

    “... L’Ordre Moral avait vécu avec la démission de Mac-Mahon qui avait dû se soumettre et se démettre, c’est étonnant ce que les généraux aiment les phrases à effet, dont ils ne pensent pas un mot. Après le triomphe des 363, il fallait bien que ceux-ci fissent quelque chose, ils votèrent une loi d’amnistie d’où furent exclus tous ceux qui, pour leur participation à la Commune, avaient été condamnés pour délits de droit commun. C’est-à-dire, des délits politiques que les conseils de guerre, dans leur arbitraire, avaient qualifié d’assassinats, de vols, d’incendies, etc…”

  • by Hubert De Castella
    £12.49

    « Nous portâmes force toasts ! On but pour moi aux vents, à l’océan que j’allais traverser, à l’Australie : Deo ignoto. Et moi, le cœur plus plein que mon verre, je bus à mes bons souvenirs, à notre bonne camaraderie ; à la France, à ce beau pays de la verve, de l’entrain et de l’amitié. »

  • by Jonathan Swift
    £12.49

    « Quoique d’une certaine étendue, ce traité n’est qu’un fragment. On présume que Swift voulait faire tout un volume, mais que le temps et la santé lui manquèrent. Ce qui paraît certain c’est qu’il faisait grand cas de ce travail, car en 1739, alors qu’il avait perdu la mémoire, et que l’indifférence pour la littérature le gagnait de plus en plus, il écrit avec anxiété à Faulkner, son éditeur irlandais, au sujet de ce manuscrit qu’il a égaré...»

  • by Marc Monnier
    £11.49

    «... Tel est le farniente du Napolitain, quand il devient ambitieux et qu’il a sa famille à nourrir. Ces artisans laborieux sont chaque jour plus nombreux à Naples ; mais ils perdent peu à peu le type national. Ils apprennent à lire, ils ne vont plus à la messe et ne donnent plus de coups de couteau. Ils doutent du miracle de saint Janvier et ne vous prennent plus votre foulard. Ils ne pillent plus dans les émeutes et ils crient : « Vive Victor-Emmanuel ! » Ce sont des lazzarone dégénérés qui seraient peut-être capables d’aller se faire tuer en Vénétie... »

  • by de la Fouchardiere Georges & Félix Celval
    £13.99

    Ce roman raconte les mésaventures burlesques d’un héros jovial et bon-vivant, doté d’une logique et d’un vocabulaire bien à lui. L’histoire se passe à Paris, puis dans le royaume imaginaire de Carinthie.

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