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Books in the Histoire de l'Art et Expertise culturelle series

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  • by Georg Lukacs
    £20.99

    "Remarques sur la théorie de l'histoire littéraire" de Georg Lukács, traduit par Georges Kassai, offre une analyse critique des approches de l'histoire littéraire. Lukács, philosophe et critique littéraire hongrois, propose des réflexions approfondies sur la manière dont l'histoire littéraire doit être comprise et interprétée.L'ouvrage explore la relation entre l'évolution de la société et celle de la littérature, mettant en lumière les liens entre les transformations historiques, les idées culturelles et la production littéraire. Lukács s'interroge sur le rôle de l'écrivain dans la société et sur la manière dont les ¿uvres littéraires reflètent et contribuent aux changements sociaux.La traduction de Georges Kassai permet aux lecteurs francophones de bénéficier de la pensée complexe de Lukács sur la littérature et son rapport dynamique avec le contexte historique. L'ouvrage constitue ainsi une contribution importante à la réflexion sur la méthodologie de l'histoire littéraire et son ancrage dans les mouvements sociaux et culturels.

  • by Paul Gauguin & Victor Segalen
    £20.99

    " PAUL GAUGUIN, né à Paris le 7 juin 1848... ¿ je ne m¿attarde pas à exposer ses origines; tout homme exceptionnel étant destiné à décevoir ses parents plus qüà les prolonger. Et lui-même nous instruit:«Si je vous dis que, par les femmes, je descends d¿un Borgia d¿Aragon, vice-roi du Pérou, vous répondrez que ce n¿est pas vrai, et que je suis prétentieux. Mais si je vous dis que ma famille est une famille de vidangeurs, vous me mépriserez.»En vérité, son père fut un journaliste; et sa grand mère maternelle, une femme de lettres, Flora Tristan, dont les ¿uvres ni les croyances, saint-simoniennes, n¿atteignent à l¿intérêt de la vie conjugale. Mal mariée, son conjoint l¿aimait cependant d¿une telle rancune, qüaprès trois ans d¿accord et dix-huit années de séparation, il lui infligea la preuve la plus fatale dont un jaloux puisse faire hommage à sa femme, et tenta de la tuer. Elle continua de vivre et d¿écrire des romans sentimentaux dans le goût de son école, comme «Memphis, ou le Prolétaire», sans pitié de ses lecteurs ni de son mari, soumis aux travaux forcés pour vingt ans."

  • by Théodore Duret
    £20.99

  • by Henri Lavoix
    £23.99

    " «La musique est l'art de combiner les sons d'une manière agréable à l'oreille.» Cette définition, qui est celle de J.-J. Rousseau, est la plus répandue; mais il faut avouer qu'elle est aussi la plus incomplète et la plus fausse. Si la musique ne consistait que dans la sensation plus ou moins agréable qu'elle procure, elle serait un art bien inférieur à tous les autres. Cette sensation diffère suivant les époques, les âges, les individus. Les dilettantes du moyen âge trouvaient fort agréables des combinaisons sonores qui, aujourd'hui, révoltent les oreilles les moins sensibles, et cependant ces combinaisons, si barbares qu'elles nous paraissent, sont de la musique; les amateurs exclusifs des anciens maîtres trouvent intolérables les hardiesses et les nouveautés que nous admirons dans les ¿uvres des compositeurs contemporains, et cependant ces ¿uvres sont de la musique. Bien plus, nous connaissons des pages qui, non seulement n'ont pas été écrites dans le but d'être agréables, mais dans l'intention bien formelle d'éveiller des sensations douloureuses et pénibles, et cependant ces pages, dont quelques-unes sont sublimes, sont encore et toujours de la musique."

  • by Robert de La Sizeranne
    £20.99

    " «Depuis un siècle, au moins, les Allemands n¿étaient plus maîtres. Ils faisaient figure de petites gens réduites au crédit des voisins, courbées sous une férule de régent.Ils s¿avouaient de pauvres lourdauds éternellement stériles qui, incapables de jamais rien produire, devaient toujours se tenir au service,à la discrétion des Anciens,de leurs voisins plus intelligents et à des livres de classe. Ils ébranlaient le monde du tonnerre victorieux de leurs armes; leur science, leur technique, leur industrie envahissaient l¿univers: les plus privilégiés d¿entre eux cependant languissaient dans une servitude misérable. Oui, leurs chefs commandaient à des armées monstrueuses, à des forces et à des trésors sans nombre; et, touchant la vie intellectuelle, affinée, ils érigeaient la soumission aux idoles des temps morts en dogme patriotique."

  • by Alfred Des Essarts
    £20.99

    " Le jour de cette fête avait, en renaissant, ramené le concours annuel et accoutumé des danses, des chants d¿allégresse. Toute la jeunesse d¿Inspruck était accourue, de même que les habitants des villages voisins. Il fallait voir, d¿un côté, les riches bourgeois, les étudiants à la tournure pittoresque, les officiers au blanc uniforme ; de l¿autre, les pâtres endimanchés, les hardis chasseurs au chapeau conique garnis de rubans ; les jeunes filles vêtues d¿une large camisole blanche et d¿une jupe d¿un bleu foncé avec un fichu noir sur la poitrine et un chapeau d¿homme sur la tête. Les hourras se croisaient ; derrière les immenses roches dolomites, aux pointes acérées et ciselées, partaient des refrains aux sons aigus ; et ces refrains, emportés par l¿écho des montagnes, en éveillaient d¿autres qui y répondaient exactement. C¿était comme une chaîne vocale qui se suivait à travers l¿étendue sans interruption et sans discordance. Les voix mâles et les voix de femmes s¿unissaient dans la même expression de joie. Les vocalises prenaient dans la vibration de l¿air un ensemble harmonieux qui se trouvait transformer tout un pays en une salle de concert, et c¿était quelque chose de charmant que d¿entendre ces chanteurs, inconnus les uns aux autres, se confondre en un même sentiment par les mélodies nationales."

  • by Paul Scudo
    £20.99

    " L¿année 1857 va bientôt terminer son cours. Encore quelques jours, et elle ne sera plus que de l¿histoire, un fait accompli qui ira augmenter le poids, déjà si lourd, des souvenirs. Quelle signification aura-t-elle pour les âges futurs, quels événemens remarquables aura-t-elle vus s¿accomplir, pour que la postérité se souvienne de son passage dans le temps ? Est-ce l¿insurrection de l¿Inde et lesefforts de cette grande nation anglaise pour ressaisir une domination lointaine non moins utile à la civilisation générale qüà sa propre puissance qui imprimeront à l¿année 1857 un caractère indélébile ? Est-ce l¿apparition d¿une nouvelle comète, la rencontre préméditée de quelques souverains de l¿Europe, ou bien plutôt la mort d¿un grand citoyen, je veux dire du général Cavaignac qui a donné à la France le spectacle d¿une vertu plus rare chez elle que l¿éloquence, le génie militaire et les vaines ostentations du pouvoir ? Tout cela dépend du point de vue moral où se placera l¿observateur et des évolutions qui se seront accomplies dans la conscience publique, dont les principes, pour être immuables dans leur essence, n¿empêchent pas la notion de justice de s¿épurer et d¿agrandir de plus en plus la sphère de son action. Voilà pourquoi, ce nous semble, l¿histoire est toujours à refaire. Les faits ayant été bien constatés par la critique, il reste à les juger, et chaque génération les soumet au critérium de sa raison et de sa moralité. C¿est ainsi que l¿idée de progrès, qui est, sans contredit, la grande préoccupation de notre siècle, se concilie avec la perpétuité des sentimens de l¿homme et les lois immuables de la raison. Malgré les tristesses du présent, malgré les défaillances des caractères que chacun peut remarquer autour de soi, malgré ces lâches palinodies des prétendus éclaireurs de l¿opinion, nous sommes attiré vers cette idée consolante d¿amélioration morale qui est aussi vieille que le genre humain."

  • by Paul Scudo
    £20.99

    " M. Richard Wagner a terminé son expérimentation, et les trois concerts qüil avait annoncés au Théâtre-Italien ont eu lieu le 25 janvier, le 1er et le 8 février. Le programme, composé d¿un choix de morceaux à grand orchestre, est resté presque invariable pour les trois soirées. On a donc pu se bien pénétrer de l¿esprit et de la forme de l¿¿uvre de M. Wagner, qui, en Allemagne, est le sujet de tant de discussions oiseuses. Nous nous croyons aujourd¿hui parfaitement en mesure de donner aussi notre avis sur les prétentions et les efforts du bruyant réformateur."

  • by Camille Bellaigue
    £20.99

    " S¿il n¿est jamais indifférent de savoir ce que de grands penseurs, les plus grands, auxquels rien d¿humain n¿est étranger, ont pensé de la musique, Frédéric Nietzsche est peut-être celui dont le « cas » musical, pour parler son propre langage, est le plus digne de nous intéresser et même de nous émouvoir."

  • by Justin Belanger
    £20.99

  • by P. Scudo
    £20.99

    " Que pensez-vous de Beethoven ? demandais-je un jour à un homme d¿un esprit original, avec qui j¿aimais à m¿entretenir de l¿art qui est l¿objet constant de mes études. ¿ Ce que je pense de Beethoven ? répondit-il en jetant sur moi un regard inquiet et soupçonneux ; où voulez-vous en venir ? ¿ Mais ma question vous l¿a dit : à connaître vos idées sur ce génie immortel dont, malgré tant de jugements divers, il semble que le caractère soit encore méconnu. Après un long silence dont j¿avais peine à m¿expliquer la cause : « Suivez-moi, me dit cet homme singulier. » Arrivé chez lui, il ouvrit son secrétaire, prit un papier, et me le remit en disant : « Lisez ce brouillon si vous pouvez, et, lorsque vous l¿aurez déchiffré, vous comprendrez pourquoi j¿ai dû hésiter à répondre à une question qui vous paraissait toute simple. » Le brouillon que j¿emportai chez moi contenait en langue italienne le récit qüon va lire."

  • by Camille Bellaigue
    £20.99

    " Comment n¿a-t-on joué que deux fois en France, et dans de médiocres conditions, cette ¿uvre admirable et déjà trentenaire ? Pourquoi surtout ne l¿avoir pas exécutée l¿année dernière, à la mémoire de L¿illustre musicien qui venait de mourir ? Sinon dans une église, où peut-être n¿eût pas été admis un Requiem allemand, du moins dans cette salle, dans ce temple de beauté maintenant fermé : au Conservatoire. Là furent jouées pour la première fois les symphonies de ce Beethoven que Brahms aimait tant et que parfois il rappelle. J¿aurais souhaité que cet hommage, en ce lieu, fût rendu au grand disciple du plus grand des maîtres.De l¿aveu général, le Requiem allemand est l¿¿uvre maîtresse de Brahms. A trente années de distance, cette musique apparaît très pure, très pieuse, à la fois puissante et douce. Volontairement isolée, contemporaine et indépendante de la réforme wagnérienne, on dirait qüelle l¿ignore ou la dédaigne. Elle ne proteste pas ; elle atteste seulement qüen dehors d¿un mouvement en apparence irrésistible, au-dessus d¿un flot qui menaçait de tout engloutir, quelque chose de grand a pu naître, et demeure. Le Requiem allemand, c¿est un sommet très haut, très fier, et non submergé."

  • by Henri Blaze De Bury
    £20.99

  • by Louis Becq De Fouquieres
    £20.99

  • by Paul Landormy
    £24.99

  • by Paul Landormy
    £23.99

  • by Paul Landormy
    £28.99

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